Algérie

On vous le dit


-Châtiments corporels dans les écoles Si la plupart des élèves étaient heureux de reprendre le chemin de l’école en renouant avec les cours, certains nouveaux, accédant pour la première fois au collège, ont été accueillis par des coups de bâton par un de leurs professeurs.
Un professeur, cumulant certes plusieurs années d’expérience, mais qui ne lui donnent pas le droit d’infliger des châtiments corporels à un enfant qui, a priori, ne s’est pas encore familiarisé avec le nouveau système éducatif du deuxième palier. L’aberration est encore plus grande quand les parents dudit élève sont allés s’enquérir auprès de l’administration. Un  haut responsable de cet établissement a répliqué en disant : «Si vous ne voulez pas qu’on frappe votre enfant, vous n’avez qu’à l’inscrire dans une école privée.» Une réponse nullement réfléchie par cette personne de l’éducation qui semble ignorer que le châtiment corporel est strictement interdit au niveau de l’école algérienne. Un enseignant ne doit pas se servir d’un bâton ou de sa main pour faire régner le silence dans sa classe. L’acte est facile, mais le traumatisme infligé à l’enfant est irréparable.

-Une «grand-mère» indigne L’insécurité et les vols gagnent tous les quartiers  d’Alger. A El Biar, une dame âgée, écumant ce quartier, notamment aux abords des établissements scolaires, à l’image de l’école primaire Ali Hamoutène, a encore frappé près de l’école. Jouant sur  son âge, elle aborde trois petites filles et s’adresse à la plus grande, en lui disant que sa maîtresse (en citant bien sûr le nom de l’enseignante) lui demande d’aller acheter des cahiers, et qu’elle garderait les deux plus jeunes avec elle.  Alors que dans son innocence la petite fille s’exécute, la vieille dame fait rentrer les deux malheureuses «victimes» dans un immeuble, enlève les boucles d’oreille aux petites en leur faisant croire que celles-ci allaient  tomber, puis disparaît dans la nature. Il faut croire que même le troisième âge sombre dans la délinquance.

-Saisie de 719 bouteilles de boissons alcoolisées à Chlef Suite aux plaintes des citoyens, la police a lancé une opération de lutte contre les lieux de commercialisation illicite de boissons alcoolisées au chef-lieu de la wilaya de Chlef. L’intervention s’est soldée par l’arrestation de trois individus qui s’adonnaient à cette activité dans une habitation et sur la voie publique. Les mis en cause ont été écroués en fin de semaine par le procureur de la République près le tribunal de Chlef. De même, 719 bouteilles de boissons alcoolisées ont été saisies en ces endroits par les éléments de la PJ de la sûreté de wilaya, appuyés par ceux des sûretés urbaines. Selon le chargé de communication de la sûreté de wilaya, l’opération va se poursuivre jusqu’à l’éradication de ces points noirs.
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