Algérie

On vous le dit



On vous le dit
Un avocat décède dans son bureau à DreanMe Jouini El Ouardi est décédé, hier vers midi, dans son cabinet à Drean (El Tarf). C'est dans le quartier des 1300 Logements, où il a installé son cabinet il y a un quart de siècle, que l'«avocat des pauvres» est mort subitement d'une crise cardiaque. C'est sa collaboratrice, de retour d'une course dans le quartier, qui a donné l'alerte en découvrant son employeur affalé dans son bureau. Une fois sur place, les agents de la Protection civile n'ont pu que constater le décès. Les gens modestes mais aussi la corporation de la presse locale perdent un ami et un allié de taille en la personne de Me Jouini El Ouardi. L'humble avocat de Drean s'est toujours placé du côté des journalistes harcelés par la justice ; il a refusé des honoraires à titre de contribution à l'épanouissement de la presse dans notre pays et pour la liberté d'expression dans le monde.Plusieurs affaires de trafic de drogue traitées par la sûreté de wilaya d'AlgerVingt personnes impliquées dans 13 affaires de trafic de drogue ont été arrêtées la semaine dernière par les services de police de la circonscription administrative de Sidi M'hamed, qui ont saisi 21 plaquettes de résine de cannabis, a indiqué un communiqué de la sûreté de wilaya d'Alger (SWA). Neuf personnes ont été placées en détention provisoire et 11 autres ont fait l'objet d'une citation directe. Une somme d'argent «considérable» et des armes blanches prohibées ont été saisis, précise la même source. En outre, les services de police de la circonscription administrative de Bouzaréah ont traité six affaires de «faux et usage de faux», «escroquerie», , «émission de chèques sans provision», «trafic de drogue», «atteinte à la pudeur», «incitation à la débauche» où sont impliqués sept individus dont un mineur. Les suspects ont été présentés devant la justice, quatre individus ont été placés en détention provisoire et trois autres ont fait l'objet d'une citation directe. Le RND Tiaret lave son linge saleC'est devant un Ahmed Ouyahia impassible que les deux ailes rivales du rassemblement local ont lavé le linge?.sale dans une salle hermétique, allant jusqu'à débiter de petites indiscrétions sur le pourquoi d'une défaite aux dernières sénatoriales. Les deux parties au conflit ? représentées l'une par le sénateur Djamel Eddine Belhadj et Boutouiga Abbès, l'autre par Hamid Belkheiri et son clan ? n'ont fait que se rejeter la balle du «pourquoi on a perdu», oubliant que la direction est partie prenante pour avoir soutenu, sans le déclarer, un cadre du parti. Les sceptiques continuent de se murer dans le silence en attendant le vote des et le congrès pour se décider.Naftal et le wali de BlidaPlusieurs travailleurs du district Naftal de Blida n'ont pas trouvé mieux pour faire valoir leurs droits que d'interpeller le wali de Blida ! Et pour cause, ils disent que leur syndicat ainsi que leur tutelle n'ont pas réagi à leurs revendications après moult sollicitations. «Peut-être que l'information envoyée à notre PDG n'arrive pas à la bonne destination. Pour le syndicat, Sidi Saïd a été clair en déclarant que le syndicat est avec l'administration. Donc on compte sur l'intervention du wali pour booster le centre enfûteur le plus important d'Algérie et le sauver du chaos», insistent-ils.Le motif de leur mécontentement est l'état dans lequel se trouve le centre enfûteur de Beni Tamou. D'après eux, il est dans un état lamentable. Les machines sont défaillantes et le nombre de bouteilles de gaz qui y sont remplies a considérablement baissé, passant de 14 000 bouteilles/jour à 9000 actuellement. «Aucune volonté de renouveler le matériel n'est affichée par notre nouveau directeur. Pis, il y a notre sécurité qui est en jeu», ajoutent-ils. «Au lieu de faire fonctionner le centre à son niveau optimal et recruter davantage de travailleurs, on dirait qu'on veut le casser. A qui profite le blocage», s'interrogent-t-il.




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