On vous le dit

-Le Dr Kellou à la tête de l’INSP Le Dr Kellou a été nommé, le 23 août dernier,  directeur général de l’Institut national de la santé publique (INSP) en remplacement de Mme Cherfi, appelée à l’inspection générale au ministère de la Santé. Le Dr Kellou, qui n’est plus à présenter, avait occupé plusieurs postes de responsabilité au sein du ministère de la Santé, entre autres celui de directeur de la prévention. -Nuit mouvementée à Sougueur Le personnel médical et paramédical de la polyclinique Hirèche Maâmar à Sougueur  (Tiaret),  a passé une nuit mouvementée suite à une attaque à l’aide d’un sabre par un délinquant. Le forcené, qui a forcé le passage, s’en est pris à la vitraille et même au médecin de garde à qui il a arraché le stéthoscope. La scène a suscité, une fois le saccage commis, un fort sentiment de peur, mais aussi de réprobation. Hier matin, les syndicats affiliés au secteur de la santé ont décidé d’une demi-journée d’arrêt de travail pour protester contre ce genre de comportement qui devient fréquent et évoquent l’absence de sécurité dans les enceintes sanitaires. -Des jeunes tabassent le maire de Tébessa Le président de l’APC de Tébessa a été passé à tabac par des personnes recrutées par l’APC au titre de l’emploi de jeunes. Ses agresseurs ont organisé une expédition punitive contre lui pour lui signifier leur refus d’obtempérer aux directives en matière d’absentéisme.Le tort du président de l’APC est d’avoir demandé aux jeunes de ne pas s’absenter. Cela lui a valu de se retrouver au service de réanimation du centre hospitalier de la commune, où il est gardé en observation depuis mardi.  Où va-t-on si un responsable n’a même plus le droit d’interpeller les jeunes employés qui désertent leur poste de travail qu’ils ont pourtant revendiqué avec force et détermination avant leur embauche ' Si de tels actes ne sont pas punis, leurs auteurs les multiplieront et les élus seront contraints de déserter les APC de peur de subir les foudres des jeunes qui n’hésitent pas à agresser un élu sans que cela provoque de réaction de la part des autorités de la wilaya et de la daïra. -L’hôpital de Blida aux petits soins avec les malades Contrairement aux idées reçues, le personnel des hôpitaux n’est pas aussi inhumain comme certains veulent le présenter. Le personnel de l’hôpital de Blida, plus particulièrement le centre des cancéreux, en donne la preuve chaque jour, à l’image de M. Keiss qui est toujours aux petits soins avec les patients de ce service qui viennent de toutes les contrées d’Algérie. Il est toujours là pour les malades. Il arrive à son bureau aux aurores et part le dernier. A l’écoute des patients qu’il oriente vers les services, leur prépare leurs dossiers médicaux, les réconforte avec des mots gentils, les soulage de leur anxiété… Un exemple qui mérite d’être souligné. -Les collecteurs de plastique envahissent les cités Depuis quelques semaines, le problème des collecteurs de plastique commence à prendre de l’ampleur dans les cités. En effet, à chaque point de collecte d’ordures, les citoyens s’aperçoivent que les bacs à ordures sont, soit déplacés soit renversés. Les collecteurs de plastique sillonnent les rues à longueur de journée. Il s’agit généralement d’adolescents, âgés entre 11 et 15 ans, qui fouillent les bacs à ordures à la recherche de tout objet en cuivre, métal ou plastique, pour être revendu ou recyclé. Selon des témoignages de citoyens, même les «fenêtres» des poteaux d’éclairage public ne sont plus à l’abri des vols de ces pilleurs, ce qui expose les enfants à des risques d’électrocution. Le phénomène a été signalé partout ces derniers temps.