Algérie

On vous le dit



On vous le dit
- La gendarmerie traque les pilleurs de sable à ChlefDans le cadre de la lutte contre le pillage de sable de l'oued, les éléments de la brigade de gendarmerie de Sobha (Boukadir), dans la wilaya de Chlef, ont récemment arrêté un conducteur de tracteur agricole pour vol de cette matière. Ce dernier, qui a dénoncé le propriétaire de l'engin, a tenté de prendre la fuite avant d'être arrêté par les gendarmes. Il a été surpris en train de transporter illégalement un chargement de sable au lieudit El Khelaïf. C'est la deuxième affaire du genre en l'espace d'une semaine. Le 8 novembre, un autre trafiquant de sable a été arrêté à Bocca Chouaïbia par les éléments de la même brigade de gendarmerie.Il utilisait également un tracteur avec remorque, devenu le moyen de transport préféré des pilleurs de sable, surtout dans la commune de Sobha, à l'ouest de Chlef. Les mis en cause ont été présentés devant le magistrat du tribunal de Boukadir. Il faut savoir que l'oued traversant la région est étroitement surveillé par les gendarmes du fait qu'il renferme un sable de qualité dont l'exploitation est soumise à une réglementation stricte.- Evanouissements collectifs dans des usines au CambodgeDes centaines d'ouvriers cambodgiens ont perdu connaissance dans une zone économique proche de Phnom Penh après la pulvérisation d'un insecticide dans les champs alentour, ont déclaré les autorités, hier, confrontées à un nouvel épisode d'évanouissements collectifs dans le pays. Environ 250 travailleurs ont vomi et se sont évanouis, hier matin, dans six usines de vêtements d'une zone économique située à une heure de la capitale, selon Cheav Bunrith, porte-parole de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS), un organisme gouvernemental.Les victimes ont été hospitalisées. D'après le même organisme, plus de 100 personnes auraient également été victimes d'évanouissement jeudi dans une usine de jouets de la même zone économique. Ces fréquents phénomènes d'évanouissements collectifs dans les usines cambodgiennes sont dus aux conditions de travail, à une mauvaise ventilation et à l'exposition à des produits chimiques nocifs.- Les décès liés au tabac dans le monde atteindraient 8 millions d'ici 2030Le nombre de décès liés au tabac atteindrait 8 millions d'ici 2030 à travers le monde «si rien n'est fait pour limiter le danger», a averti la représentante de l'Organisation mondiale de la santé à Dakar, Françoise Bigirimana. Selon elle, 80% de ces décès «surviendront dans les pays à revenu faible ou intermédiaire». Mme Bigirimana a fait ces prévisions lors des travaux d'un atelier régional de sensibilisation pour la ratification du protocole afin d'éliminer le commerce du tabac, ouvert à Dakar.Elle a en outre souligné que le traitement cher des maladies liées à la consommation de tabac pèse lourdement sur les budgets des ménages et des Etats et sur la baisse de la productivité, surtout en Afrique. Les statistiques publiées en 2014 par le bureau régional de l'OMS pour l'Afrique indiquent que 94 millions d'hommes et 13 millions de femmes en Afrique sont des consommateurs de tabac.- Les Néo-Zélandais appelés à choisir un nouveau drapeauLes Néo-Zélandais ont commencé hier à voter pour choisir entre cinq propositions de drapeau, certaines arborant la fameuse fougère des All Blacks, qui pourrait remplacer la bannière actuelle. Ce référendum par voie postale est ouvert jusqu'au 11 décembre.Le modèle de drapeau sélectionné parmi les cinq en compétition affrontera l'étendard néo-zélandais lors d'un second vote en mars. Cette réforme avait été une des mesures très symboliques annoncées en septembre 2014 par le Premier ministre John Key.Fort du triomphe électoral de son parti conservateur, il avait claironné qu'il était temps de bannir le drapeau national de l'Union Jack qui symbolise l'ancien colonisateur britannique et d'adopter un étendard qui soit clairement identifiable, comme celui de la Nouvelle-Zélande. Ceux qui critiquent le drapeau actuel déplorent en effet sa ressemblance avec celui de l'Australie voisine.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)