On vous le dit

Hammam Melouane tremble de nouveauAprès une accalmie de quelques mois, la localité de Hammam Melouane a été encore une fois secouée ce matin, vers 8h13, par un séisme de magnitude de 3,2 sur l'échelle de Richter. Selon la Protection civile de la wilaya de Blida, l'épicentre du tremblement de terre a été localisé à trois kilomètres au nord-est du chef-lieu de la localité en question. La secousse a été ressentie par les habitants de la daïra de Bougara, sans pour autant faire de victimes. Pour rappel, la région de Hammam Melouane assiste à une activité sismique régulière depuis quelques années.Des DAB souvent en panne à BoufarikLes usagers d'Algérie Poste de la ville de Boufarik sont pénalisés depuis que les deux distributeurs automatiques de billets (DAB) sont en panne. Il y a celui du centre-ville et l'autre est situé à la cité ex-Jésuite. Le distributeur du centre-ville fonctionne comme bon lui semble, deux voire trois jours par semaine, mais le DAB de la poste de proximité de l'ex-Jésuite est à l'arrêt depuis plus de deux mois. «Il a exceptionnellement fonctionné ce dimanche, mais il risque de retomber en panne à tout moment», témoigne un client d'Algérie Poste. Ces distributeurs peuvent, pourtant, atténuer la tension qui s'exerce sur les deux seules agences postales du centre-ville de Boufarik, surtout le jour du virement de la retraite, soit vers le 20 de chaque mois. Mais ces DAB sont régulièrement en panne technique et les services concernés par leur maintenance semblent défaillants.En voulant éviter les désagréments du chèque et les longues chaînes au niveau des agences postales, les utilisateurs des distributeurs automatiques sont souvent déçus par le manque de sérieux d'Algérie Poste. Aussi, et avec les pannes qui durent dans le temps, «il n'est donc pas prudent de planifier ses finances en fonction des retraits au jour le jour», s'insurge un enseignant outré par cette situation. Boufarik est une grande ville qui mérite plus de DAB.Retour à la case départ pour le plan de circulation à ChlefLancé en août dernier, le nouveau plan de circulation de la ville de Chlef est, malheureusement, de retour à la case départ. Le soulagement éprouvé par les usagers au lendemain de sa mise en ?uvre a laissé place au désenchantement. Le problème réside essentiellement dans l'absence d'un dispositif d'accompagnement censé dissuader les automobilistes et les passants enfreignant le code de la route. Certains garent leurs véhicules sur les trottoirs et même sur les passages réservés aux piétons, d'autres grillent les feux rouges sans être inquiétés. Mais on ne peut pas jeter la pierre aux seuls conducteurs, les piétons ne respectent pas, eux aussi, les feux tricolores, provoquant parfois de gros embouteillages. A cela s'ajoute la prolifération des commerces informels le long de la voie publique, obligeant les piétons à déborder sur la chaussée. Devant cette situation, les usagers préconisent un durcissement des mesures contre les auteurs de l'anarchie qui règne au centre-ville de Chlef, censée être la capitale du Cheliff. Il faut rappeler que l'étude du nouveau plan de circulation de la ville de Chlef avait été réalisée par un organisme spécialisé dépendant de l'entreprise Métro d'Alger. Si les modifications apportées à la circulation et l'introduction de feux tricolores ont permis d'améliorer la fluidité du trafic, il n'en demeure pas moins que de nombreux points noirs subsistent. Il va falloir donc se pencher sur la question en corrigeant les défaillances constatées, surtout que le centre-ville a du mal à supporter le nombre de véhicules qui affluent de toute la région.Assassinat à coups de matraque à BatnaLe corps du nommé (B. A.), âgé de 81 ans, présentant des traces de violence au visage occasionnées au moyen d'un objet tranchant, a été découvert par son fils à l'intérieur de sa nouvelle habitation en cours de réalisation dans la commune de Foum Toub (Batna). La dépouille mortelle a été déposée à la morgue de l'hôpital de Batna. Les investigations entreprises par les gendarmes de la brigade locale ont abouti à l'interpellation du nommé (A. D.), âgé de 40 ans (voisin de la victime), présentant des blessures au visage. Ce dernier a avoué être l'auteur de l'assassinat suite à un différend l'ayant opposé à la victime. Une matraque et des effets vestimentaires maculés de sang ont été saisis dans une étable mitoyenne avec le domicile de l'auteur présumé audit village. L'enquête se poursuit.