Algérie

On vous le dit



-Horaires continus sans  conditions de prise en charge Plusieurs établissements scolaires s’apprêtent, dès la rentrée, à appliquer les horaires continus. Une première pour les bambins qui devront s’habituer, pour beaucoup d’entre eux, à s’absenter de la maison durant plusieurs heures.'C’est là qu’apparaît le manque de conditions, pour justement prendre en charge ces élèves durant une grande partie de la journée.'Plusieurs établissements scolaires sont, en effet, dépourvus de cantines et de sanitaires adéquats, alors que les espaces pour la pause sont trop exigus.'Ce sont les parents d’élèves qui ont relevé tous ces manques à la veille d’une rentrée scolaire qui risque d’être difficile.

-Ça ne va pas à Algérie-Télécom de Blida En raison des diverses pannes d’Internet à Blida, dues aux actes de sabotages et vols de câbles, il est signifié aux abonnés, le temps d’y remédier, de procéder à des blocages temporaires de leurs abonnements à Internet pour éviter ainsi des dépenses inutiles. Mais attention ! Si vous voulez bloquer votre abonnement, il faut exiger qu’il vous soit signifié par écrit. En effet, quelle fut grande la surprise d’une dame de Blida qui a émis verbalement l’intention de bloquer son abonnement pour deux mois, alors qu’elle se trouve finalement contrainte de payer une consommation qui n’a pas eu lieu. « C’est probablement dû à une erreur du système !», lui argue avec une facilité déconcertante le guichetier au niveau d’Algérie Télécom, antenne de Ouled Yaïch. D’autres payent la connexion et ne bénéficient pas d’Internet sous prétexte de «problèmes techniques» qui perdurent. Des abonnés à Algérie Télécom à Blida signalent des dérangements du téléphone qui ne sont pas réparées depuis plus d’un mois.

-La proposition «intelligente» du Ceimi L’investissement aux abords de l’autoroute Est-Ouest serait le moyen idéal pour booster l’activité économique du pays. L’avis émane de Abdelkader Aggoune, président du Club des entrepreneurs et industriels (CEIMI), dont le siège est à Blida.  
«Les grandes villes et leurs alentours sont de plus en plus saturés, alors que le foncier industriel existe sur les 1200 km de l’autoroute Est-Ouest», insiste- t-il. Dans ce sens, plusieurs opérateurs économiques veulent entreprendre des extensions de leurs activités, mais se heurtent, d’après notre interlocuteur, au manque de foncier industriel. «Le recours aux abords de l’autoroute pour y créer de petites zones d’activité, de showrooms, d’hypermarchés ou de hangars pour stockage tous les 100  km, dans des endroits non agricoles bien sûr, est aussi un moyen pour embellir et surtout sécuriser cet important axe routier manquant d’infrastructures en sachant que la nature a horreur du vide», a-t-il ajouté, en se basant sur les expériences de pays européens comme la France et de l’Espagne.

-Sit-in au complexe GNL de Skikda Plus de 400 travailleurs du personnel de jour du complexe gazier de Skikda (GL1K) ont tenu, dimanche dernier, un sit-in de plus d’une heure au niveau du parc d’entrée de l’usine. Par cette action, ils exigent l’alignement de leurs primes sur celles perçues par l’ensemble des travailleurs de la branche aval de Sonatrach. «Le GL1K fait partie intégrante de Sonatrach depuis 2009, mais à ce jour, le taux de plafonnement de nos primes n’est qu’à 8,5%, alors que celui des autres employés de Sonatrach est à 50%. On a longtemps dénoncé cette méprise et à chaque fois on nous répond que ce problème sera incessamment réglé. Or, depuis 2009, on nous fait patienter et il n’y a rien», témoigne un employé du complexe.
                               

 


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