Algérie

On vous le dit



Les concessionnaires de plages dictent leur loi C’est pratiquement terminé pour la saison estivale de cette année, mais ce qu’il faut retenir, c’est le diktat imposé aux nombreuses personnes par les concessionnaires de plages qui ont tout simplement imposé leur loi au vu et au su de tout le monde. Malgré les assurances d’avant-saison, les Algériens ont été contraints d’abdiquer pour pouvoir profiter de la mer, un espace appartenant à la collectivité locale, mais délaissé au profit des concessionnaires qui ont fixé les règles d’accès et le prix à mettre, défiant ainsi toute autorité. Les familles algériennes habituées à cette «agression estivale» depuis un certain nombre de saisons, sans fatalisme aucun, savent fortement qu’il en sera ainsi pour les prochaines années. Les Indonésiens apprécient les fruits algériens Une délégation commerciale indonésienne, conduite par le ministre conseiller auprès de l’ambassade d’Indonésie à Alger, Mme Ida Susanty Munir, a effectué une visite de travail à Blida où elle a rencontré les responsables de la Chambre de commerce et d’industrie de la Mitidja aux fins de développer le partenariat économique entre les deux pays. A table, Mme Ida Susanty Munir a eu le «privilège» de goûter aux fruits de la Mitidja. «C’est vraiment bon et délicieux. Vos pêches et vos raisins sont d’une qualité irréprochable», a-t-elle déclaré au moment de la dégustation du dessert. Elle a d’ailleurs appelé les Algériens à exporter leurs fruits en Indonésie. «Chez nous, on n’a que les fruits exotiques. Je suis sûre que vos fruits auront du succès chez nous», a-t-elle insisté, en invitant les opérateurs économiques algériens à participer à la Foire internationale de Djakarta, du 19 au 23 octobre prochain pour mieux booster les échanges entre les deux pays, estimés actuellement à un demi-milliard de dollars. La direction de la culture de Bouira «en congé» Cette saison, la ville de Bouira fait face à une léthargie culturelle sans précédent. Aucune animation culturelle n’a eu lieu depuis le début de l’été. La dernière activité artistique qui a eu lieu à la station climatique de Tikjda (le Festival national de musique) a été un véritable fiasco ; la manifestation est d’ailleurs passée inaperçue. Certains pointent un doigt accusateur sur les initiateurs et les organisateurs qui n’auraient pas honoré leurs engagements lors de cette manifestation, pourtant inscrite dans l’agenda des festivals nationaux. A la veille du mois sacré, où les Bouiris sont habitués aux soirées culturelles, aucun programme n’a été mis au point.    Contrôle judiciaire pour l’infirmière avorteuse La rue de Khemis Miliana, dans la wilaya de Aïn Defla, s’est emparée ces dernières heures de l’affaire dite de «l’infirmière avorteuse». D’aucuns se posent moult questions et craignent l’existence d’un véritable réseau. Pour l’heure, l’enquête suit son cours et l’on s’attend peut-être à de nouvelles révélations, selon  nos sources. Pour  rappel, c’est suite à une alerte émanant d’une clinique privée où une jeune fille âgée de 23 ans, originaire de Djelida, a été admise après s’être fait avorter illégalement d’une grossesse de deux mois, que la police est parvenue à la principale accusée dans cette affaire. Il s’agit d’une infirmière exerçant à l’hôpital de la même ville qui aurait avoué sans difficulté son acte, arguant du fait que la jeune fille était en situation de détresse. Présentée devant la justice, l’infirmière qui aurait pratiqué cet avortement à son domicile, a bénéficié d’une mise sous contrôle judiciaire. Par ailleurs, une autre personne impliquée dans cette affaire et ayant servi d’intermédiaire entre la jeune fille et l’avorteuse demeure, à ce jour, introuvable.               


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