- Des bureaux pour un sénateur à Ouled Djellal (Biskra)La distribution des locaux pour les associations à Ouled Djellal (Biskra) n'obéirait à aucun critère, sauf celui de l'allégeance, à en croire des citoyens de la commune qui ont pris attache avec la rédaction. Selon ces derniers, l'association de wilaya Kafil El Yatim, présidée par un sénateur influent, a pu s'installer, il y a un mois, dans sept bureaux aménagés à l'intérieur de l'ancien siège de la daïra.Moins bien lotis, d'autres associations et même des services publics n'ont pas eu ce même traitement, à l'instar de l'inspection du travail, qui n'a pu avoir qu'un espace exigu dans le même édifice, où se trouvent à l'étroit ses employés.Les citoyens s'offusquent contre le «traitement de faveur» réservé par l'APC d'Ouled Djellal à une seule personnalité, alors que la population a toujours eu droit à une même rengaine : la commune ne dispose pas de locaux suffisants. Les citoyens, qui demandent la fin du copinage, réclament une «juste répartition» des espaces parmi les associations qui activent dans la commune.- Faux dirhams saisis et deux vrais Marocains arrêtés à Tiaret...Agissant, entre autres, sur exploitation d'informations émanant du secteur opérationnel relevant de l'armée, les services de la police judiciaire de Tiaret ont arrêté, en cette fin d'année 2014, deux Marocains, S. A., 56 ans, et M. H., 61 ans, aux antécédents judiciaires avérés, avec en leur possession de faux dirhams qu'ils destinaient à la commercialisation.Selon une source sécuritaire, l'une de ces personnes arrêtées avait sur lui 744 faux billets de 100 et 200 dirhams et 2 billets de 1000 dinars algériens. Présentés devant le magistrat instructeur, les deux faussaires ont été écroués pour «association de malfaiteurs», au moment où un de leurs comparses, un certain L. R., âgé de 53 ans, demeure en fuite.... et deux ans sans téléphoneUn homme, Guerdi Mahieddine, résidant à la cité Belhadj Hachemi (ex-Volani), à Tiaret, ne voit rien venir de la part d'Algérie Télécom depuis deux années, alors que sa ligne téléphonique est restée muette. En dépit des nombreuses réclamations et autres lettres de protestation expédiées à qui de droit, aucun écho n'est parvenu au malheureux client qui continue, comble du paradoxe, à payer les factures qui lui parviennent et comportant les droits dus au titre de l'abonnement. Algérie Télécom, qui se targue de ses prouesses en matière de 4G, est-elle à ce point incapable de rétablir une ligne de téléphone fixe '
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Posté Le : 03/01/2015
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : El Watan
Source : www.elwatan.com