Algérie

On vous le dit



 Amar Tou malmène un cadre Amar Tou a « malmené » un cadre de son département qui présentait le bilan relatif à la transplantation d?organes devant un parterre de journalistes, de directeurs d?hôpitaux et de professeurs chefs de service. « Mais qu?est-ce que tu es en train de nous raconter. Nous avons une direction qui est défaillante », s?est-il adressé à l?orateur. Peu après le début de la présentation, Amar Tou arrête l?orateur pour lui demander de fournir plus d?explications. Une fois les chiffres annoncés, le ministre de la Santé pique une colère. Le représentant du ministère bafouille. L?évaluation de toutes les chirurgies portées sur le tableau élaboré par la direction des services de santé ne semblait pas être celle réalisée par les différents services. Les correctifs portés par les différents directeurs des CHU présents à la rencontre montrent que l?évaluation n?a pas été actualisée. Ce qui montre que le ministre lui-même ignorait, jusqu?à la réunion d?hier, le nombre exact de greffes réalisées à ce jour. Un bilan qu?il découvre au même titre que les présents. Et pourtant, la logique veut que le point de situation doit être fait avec ses collaborateurs bien avant la rencontre.  Attention aux MTH à Mohammadia ! Une fosse septique à ciel ouvert, sise à la cité des 220 Logts au quartier dit le Lido, commune de Mohammadia (10 km à l?est d?Alger), risque de provoquer l?irréparable d?autant que la saison est favorable à l?apparition des maladies à transmission hydrique (MTH). Ce réceptacle de plusieurs mètres cubes, où se déversent les eaux usées de cette cité, complètement à l?abandon, suscite, en effet, la panique parmi les riverains. Le site, un vieux chantier entamé en 1989 par l?APC de Mohammadia avant d?être abandonné, accueille une cinquantaine de familles. Celles-ci, détentrices d?attestation de pré-affectation, doivent également subir d?autres problèmes comme les agressions nocturnes par des jeunes enivrés et l?absence d?éclairage public.  Le taux de remplissage acceptable de l?ENTMV L?Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) a eu des chargements corrects et acceptables jusqu?au 1er juillet. C?est loin d?être la ruée, il y a toujours des places mais elle réussit globalement 75% de remplissage. Sur les cinq navires, il y a encore de la place. La clientèle se répartit de la manière suivante : 60 % de passagers émigrés en France, 30% de passagers résidant en Algérie et 10% de touristes et simples voyageurs. Il est à souligner le fait que le concurrent français SNCM est confronté actuellement à des mesures de restructuration en conséquence de la perte de monopole dont il bénéficiait jusqu?alors et des aides financières y afférentes. Aussi, Algérie Ferries devrait mettre à profit cette période transitoire pour renforcer sa capacité de transport et élargir sa part de marché. L?ENTMV assure des liaisons régulières entre l?Algérie et les ports de Marseille (France) et Alicante (Espagne).  Les actes de AIRO tardent à venir Les souscripteurs au projet EPLF-Boumerdès portant sur 32 logements semi-collectifs de Aïn Taya (Diar El Gharb) attendent toujours leurs actes provisoires. En effet, presque 18 mois après avoir versé de ?grosses? avances à l?entreprise Avenir immobilier Rouiba, AIRO, filiale de EPLF Boumerdès, les bénéficiaires viennent d?être ?invités? encore une fois à patienter. Ces derniers disent avoir versé plus de 50% du prix du bien (entre 300 et 600 millions de centimes) pour des duplex et n?ont pour seul document qu?un ordre de versement bancaire. Ces logements, en cours de construction, ont été évalués à respectivement 6,5 millions de dinars pour un F4 de 120 m2, 9,5 millions de dinars pour un F6 de 220 m2 et 11,50 millions de dinars pour un F7 de 242 m2. Ce qui représente un coût de 47 000 DA le mètre carré, alors que la moyenne nationale, faut-il le rappeler, est de l?ordre de 40 000 le mètre carré.  Deux noyades enregistrées à Chlef Deux noyades ont été enregistrées ces derniers jours sur le littoral de la wilaya de Chlef, qui s?étend sur 120 km. Une jeune mariée âgée de 23 ans a connu une mort tragique sur la plage de Decheria, à l?extrémité ouest de la côte. Elle s?est noyée dans une plage censée être surveillée par les agents de la Protection civile. La victime, qui habitait la ville de Chlef, a été enterrée dimanche dernier chez ses parents à Alger, en présence d?une foule nombreuse. Contrairement à ce qu?affirment les autorités officielles, les baignades sont loin d?être surveillées par les maîtres nageurs recrutés à cet effet. Ces derniers sont souvent regroupés au même endroit ou plutôt occupés à discuter avec des estivants, laissant les familles livrées à elles-mêmes. L?autre noyé est un lycéen de la commune voisine de Chettia qui a péri à la plage de Mainis, à 5 km à l?ouest de Ténès. Les circonstances du drame demeurent inconnues pour le moment.


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