Algérie

On vous le dit



On vous le dit
- Misogynie à l'APNIl semblerait que des Algériens, mus par leur haine envers la femme, n'hésitent pas à se montrer ridicules pour exprimer leurs sentiments. On l'a vu jeudi matin lors des débats à l'APN. La séance était présidée par une dame élégante et très à l'aise. Prenant la parole, le «député» Safi Arabi lui a tout simplement donné du «Monsieur le président» ; lui succédant, le député de Laghouat en a fait de même. Personne dans les tribunes, y compris les membres du gouvernement, n'a remis à leur place les deux goujats. Mais la présidente, impériale, a accueilli avec mépris ces dépassements. A noter que la salle était pratiquement vide. Ces élus du peuple «incompétents, absentéistes et inutiles», osent cependant demander des augmentations de salaire, lesquels sont déjà faramineux. M. Ould Khelifa devrait commencer par les éduquer et les remettre à leur juste place.- Deux dangereux malfaiteurs écroués à El AttafLes éléments de la brigade mobile de la police judiciaire d'El Attaf (ouest du chef-lieu de wilaya de Aïn Defla) ont procédé, avant-hier, à l'arrestation de deux dangereux récidivistes, âgés de 22 et 26 ans, pour «tentative d'homicide volontaire, vol avec violence et utilisation d'arme blanche prohibée» (un sabre ), a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la direction de la sûreté de wilaya. Leurs dernières victimes, un policier et un quadragénaire. Ce dernier , intercepté au carrefour situé au sud-est de la ville, a été sauvagement agressé et délesté de son téléphone portable, avec une incapacité de travail de 6 jours. En intervenant, un policier en faction sur les lieux a été également sérieusement blessé aux mains par le sabre brandi par l'un des malfrats. Arrêtés quelques heures plus tard, les deux mis en cause ont été présentés devant le procureur de la République près le tribunal d'El Attaf et placés en détention provisoire.- Un organisme officiel marocain réclame l'abolition de la peine de mortLe président du Conseil national des droits de l'homme (CNDH, officiel), Driss El Yazami, a exhorté le Maroc à abolir la peine de mort, une décision à laquelle s'oppose le gouvernement emmené par les islamistes du parti Justice et développement (PJD). Si la peine de mort continue à être prononcée au Maroc, un moratoire est appliqué de facto depuis 1993, et le royaume est perçu, au sein de la communauté internationale et par des ONG, comme l'un des pays arabes susceptibles de franchir le pas de l'abolition. Lors de la présentation d'un rapport devant le Parlement, lundi, le président du CNDH officiel a souligné la «nécessité de mettre en ?uvre (...) l'abolition de la peine de mort». Il a notamment fait valoir que la mesure figurait parmi «les principales recommandations institutionnelles de l'Instance équité et réconciliation», instaurée en 2004, afin de se pencher sur les violations des droits de l' homme lors des décennies précédentes.- Coup d'envoi de l'opération «piscines ouvertes» à Aïn DeflaL'opération «Piscines ouvertes», initiée par la direction de la jeunesse et des sports de la wilaya de Aïn Defla, a débuté avant-hier dans les piscines semi-olympiques des villes de Khemis Miliana et du chef-lieu de wilaya de Aïn Defla, a indiqué une source de cette direction. L'opération en question est destinée à la catégorie des 12/16 ans, à raison de 60 nageurs par jour. L'ouverture récente de la piscine de Khemis Miliana a permis de mettre en place un programme à même de répondre à cette demande. Selon les organisateurs, l'ouverture de ces structures est le prélude à d'autres initiatives en ce sens, avec la réception d'autres piscines nouvelles ou en cours de réhabilitation. Une façon de mettre un frein aux nombreux drames de noyade enregistrés dans la wilaya de Aïn Defla au niveau des plans d'eau, barrages, oueds et bassins d'irrigation. Une occasion pour ces jeunes d'apprendre les rudiments de l natation et de se détendre en cette période de vacances.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)