Algérie

On vous le dit



On vous le dit
-Un mépris pour les «monstres» de la scène théâtraleA l'occasion de la Journée mondiale du théâtre, une belle initiative était à l'affiche au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi, qui consiste à honorer les pionniers du 4e art algérien. Malheureusement pour cette soirée qui devait être celle des retrouvailles et des reconnaissances, la salle était quasiment vide. Point de ministre de la Culture, pas plus de cérémonie protocolaire, pas d'assistance ni de figures connues et habituées à de telles manifestations. Noria, Sid Ali Kouiret, Mohamed Haïmour, Wahiba Zekkal et Hadj Smaïl ont reçu, en guise de reconnaissance, une attestation imprimée sur une feuille de papier. Bien mince reconnaissance pour ces «monstres» de la scène théâtrale et du cinéma.-Une essence douteuse dans les stations-serviceCes derniers jours, plusieurs automobilistes se plaignent de la qualité de l'essence servie dans les stations-service. En effet, il se trouve qu'à chaque fois que le plein est fait, la voiture a du mal à démarrer, elle enregistre des ratés et parfois elle s'immobilise. Le doute est permis lorsqu'on voit ces eaux de pluie qui stagnent autour des citernes d'essence et qui peuvent facilement s'infiltrer dans les conduits. C'est du moins l'explication donnée par certains pompistes, mais démentie par les responsables des stations-service. Quoi qu'il en soit, le problème existe réellement à Alger, alors que certaines stations sont déjà répertoriées sur les réseaux sociaux.-Trois mois pour renouveler un permis de conduireCela fait trois mois que certaines personnes ont déposé leur dossier pour renouveler leur permis de conduire à la daïra d'Hussein Dey, mais elles se voient signifier qu'elles doivent repasser, car le document n'est pas encore prêt. Des prolongations de titre provisoire pour circuler sont accordées, alors qu'aucune explication n'est donnée quant à ce retard qui, s'il n'est pas pénalisant, nous rappelle que la bureaucratie n'est pas près de disparaître.-Un billet d'accès intrigantLe problème a été relevé par des confrères. Il concerne la gestion du musée Zabana, à Oran. En effet, l'accès étant fixé par la direction à 200 DA, le visiteur pourra alors découvrir une nouvelle forme de gestion dès qu'il s'acquitte de cette somme. Le préposé au guichet lui remet une liasse de dix tickets, sur lesquels est imprimé la somme de 4 DA, rectifiée à 20 DA, bien visible sur le billet d'entrée puisque tamponnée. Le musée Zabana, qui a le statut de structure nationale, devrait bénéficier d'une gestion aussi limpide, car ce genre de pratique peut ouvrir la voie à toutes les supputations. De plus, est-il normal que le prix d'accès soit fixé à 200 DA pour un musée qui n'offre pas de guide pour donner des explications et qui connaît un taux de fréquentation insignifiant '




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