Algérie

On vous le dit


Zahia Benarous approuve Kouchner
Sénateur dans le tiers présidentiel, l’ancienne présentatrice vedette de la télévision, Zahia Benarous, est en lice pour l’élection à la vice-présidence du Conseil de la nation. Mais ses chances d’accéder à ce poste sont bien minces car elle sera opposée à une grande figure de la scène politique nationale, à savoir Mme Zohra Drif, la veuve de Rabah Bitat. En panne d’arguments pour faire pencher la balance en sa faveur, Zahia Benarous tente de faire admettre par ses pairs l’idée de mettre au placard «la famille révolutionnaire», trop privilégiée à son goût par le système en place.
Une source proche du Conseil de la nation s’est dit ulcérée par les propos de cette personne qui a choqué le monde de la culture lorsqu’elle était en charge de ce secteur il n’y a pas si longtemps, par des propos pro-islamistes.
La même source estime qu’il y a, heureusement, assez de lucidité chez les membres de la Chambre haute pour faire échec à la médiocrité et à l’incompétence.
  Pénurie de quittances aux postes-frontières
Des familles algériennes, qui se rendaient par voie terrestre vers la Tunisie, ont été surprises d’apprendre qu’il y avait pénurie de quittances de 500 DA exigée à la sortie du territoire national. En fin d’année, le poste-frontière de Bouchebouk était dépourvu de ces quittances, ce qui a contraint un bus de voyageurs d’«avaler» plusieurs autres kilomètres pour transiter par une autre sortie vers la Tunisie.
S’il est vrai que les voyageurs peuvent s’acquitter de cette obligation au niveau des régies des impôts de leurs régions respectives, il n’en demeure pas moins que les postes-frontières doivent prendre leurs dispositions pour ne pas pénaliser les voyageurs.
    «La République impériale» traduit en arabe    
L’ouvrage La République impériale: politique et racisme d’Etat, de l’universitaire français Olivier Lecour Grandmaison, est désormais disponible en langue nationale. Sa version en langue arabe vient de paraître à Casbah Editions d’Alger. L’ouvrage, paru en 2009, s’inscrit dans la continuité et dans le même esprit de son précédent travail intitulé Coloniser, exterminer. Sur la guerre et l’Etat colonial édité quatre années auparavant. Dans La République impériale, l’universitaire français centre son étude sur la IIIe République en France pour disséquer et démontrer sa dimension intrinsèquement impériale, coloniale et raciste.
    Fête du couscous à Oran
Mettant à profit la célébration de Yennayer, l’association Numidya a prévu, entre autres, dans son programme, un grand régal au couscous. En effet le «clou» de cette célébration sera sans aucun doute  la Fête du couscous qui se déroulera vendredi matin, au cours de laquelle participants, invités et passants seront conviés à déguster un grand couscous préparé par des familles bénévoles. Cette dégustation entre dans le cadre d’une tradition bien établie au niveau de la ville d’Oran où le couscous fait partie intégrante de la fête.
    Facebook ne fermera pas !
La rumeur circulait à grands pas, mais rien n’était vrai. Annoncée par le site Weekly World News, elle annonçait que facebook devait tirer sa révérence le 15 mars prochain. Son fondateur, Mark Zuckerberg, était censé «mettre un terme à toute cette folie» et retrouver «son ancienne vie». Le site attribuait ces mots au fondateur du réseau social : «Pour être honnête, je pense que c’est une bonne chose. Sans facebook, les gens vont devoir sortir de chez eux et rencontrer leurs vrais amis. Ça ne peut être que bénéfique.»
Lorsque les journaux, les blogs, les sites ont repris l’information, c’est un émoi généralisé qui s’est emparé des utilisateurs du réseau social. Hier soir, après 48 heures de silence, facebook a enfin démenti l’information par ces mots : «Nous n’avons pas reçu le mémo concernant l’arrêt, nous allons donc continuer à poursuivre nos efforts comme toujours.
Nous n’allons nulle part, c’est juste le commencement.» Les usagers du réseau social peuvent se rassurer.
 
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)