Algérie

On vous le dit



Les médecins sont en vacancesSi au niveau de la capitale et de certaines grandes villes du pays le problème ne semble pas prendre de grandes proportions, dans les autres agglomérations du territoire, loin des bruits des grandes cités, il devient difficile de trouver un médecin en cette période de vacances. Comme cette année la saison des congés se trouve réduite pour cause de ramadhan, plusieurs cabinets médicaux sont en vacances durant ce mois de juillet. D'autres font des prolongations, au moins jusqu'à la mi-août. Entre-temps, la population se retrouve privée de consultations alors que pour les urgences il faut faire de longs déplacements. Dans cette situation, même le secteur public est concerné, puisque la plupart des spécialistes ont fixé rendez-vous à leurs patients à plus tard.Histoire d'une usurpation d'identitéA l'expiration de ses papiers d'identité, le jeune Malik Khouatra, un franco-Algérien de la région de Sétif, se rend au service d'immatriculation du consulat de France à Annaba, pour le renouvellement de la carte d'identité et le cas échéant de son passeport. Muni de tout le dossier, le jeune est surpris d'apprendre qu'il fait l'objet d'une usurpation d'identité, car une autre personne aurait, à son insu, demandé un certificat de nationalité française au nom Malik Khouatra. La gravité de l'acte pousse le jeune homme à saisir le tribunal d'instance habilité afin de réfuter toute demande de délivrance du document précité. quelques mois après, l'usurpation d'identité est confirmée par le consulat. Une enquête est dès lors diligentée. Mais voilà, le calvaire de ce Franco-Algérien dure depuis plus de 5 longues années. Ayant entrepris moult démarches, le véritable Malik Khouatra, qui ne sait plus à quel saint se vouer, attend l'épilogue d'une affaire qui le rend malade. D'autant plus que l'usurpateur court toujours avec une « vraie fausse » identité 'Abus de pouvoir à l'Imprimerie officielleLa direction générale de l'Imprimerie officielle se fait décidément longue à régulariser la situation de l'un de ses cadres les plus émérites, en l'occurrence Hocine Boulkour. Abusivement licencié en décembre 2006 après 11 ans de service, M. Boulkour a bénéficié d'un jugement du tribunal de Bir Mourad Raïs le 23 mars 2008. Il attend toujours sa réintégration en application de la circulaire d'Ouyahia n°465/03 du 11 septembre 2003 qui prévoit la réintégration immédiate des travailleurs ayant bénéficié d'un jugement favorable, une mesure appuyée par ailleurs par le président de la République. L'Imprimerie officielle fait fi de tout cela, et ce, en dépit des nombreuses correspondances émanant de la présidence de la République et du Premier ministère. M. Boulkour est chargé d'études à l'Imprimerie officielle depuis 1995. Il a été l'initiateur du service de la gestion des immobilisations au sein de l'entreprise et le concepteur du service de codification au Secrétariat général du gouvernement.Les plages continuent à être payantesComme à chaque saison estivale, les décisions concernant l'utilisation des plages sont contrées par la réalité du terrain. En ce début du mois de juillet et la ruée vers la grande bleue, les citoyens ont constaté, à leurs dépens, qu'il devient de plus en plus cher de se payer une journée à la plage. Parking obligatoire, même à coup de bâton, parasol, chaises, tables, imposés, gargotes infectes, ce sont-là les quelques ingrédients qui demandent beaucoup d'argent, au grand dam des pères de famille qui se demandent où sont passés les contrôles promis dans ce genre de situation.


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