Algérie

On vous le dit



 Enquête sur l'ancien DG de l'Office du complexe olympique La justice poursuit son enquête sur l'ancien directeur général de l'Office du complexe olympique Mohamed-Boudiaf, à savoir Rachid Zeroual, soupçonné de malversation quant à la gestion des affaires de l'OCO. L'ancien directeur de l'OCO serait coupable, selon la plainte déposée à son encontre, d'avoir conclu des contrats contraires à la réglementation en vigueur et dilapidation de biens publics. Des témoins seront auditionnés dans les prochains jours par le tribunal de Bir Mourad Raïs, concernant cette affaire. Des auditions sont prévues, selon des sources dignes de foi, le 13 octobre. Rappelons que l'Office du complexe olympique est dirigé actuellement par un nouveau directeur général, Noureddine Belmihoub. Jumelages entre lycées et séjour linguistique Lors de la conférence de presse tenue au terme de sa visite à Batna, mardi dernier, Son Excellence l'ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a révélé que lors d'unerencontre récente avec le ministre de l'Education, Boubekeur Benbouzid, il a proposé à ce dernier la création de jumelages entre des lycées algériens et français pour ainsi créer une sorte de séjour linguistique et renforcer le volet formation en langue française. Une gérante de pharmacie devant la justice La gérante et un employé d'une officine de la localité des Ouacifs (Tizi Ouzou) ont été présentés devant le procureur de la République pour vente clandestine de psychotropes le 4 octobre. Lors d'un contrôle effectué dans les pharmacies implantées dans cette localité, il a été constaté au niveau de cette officine que 550 boîtes de 20 comprimés chacune de marque Diazépam (10 mg) ont été vendues sans présentation d'ordonnances médicales et non mentionnées sur le registre de vente des psychotropes. L'employé a été placé sous mandat de dépôt et écroué et la gérante sous contrôle judiciaire. En avant pour le tourisme au Tassili Une rencontre a été organisée hier avec l'ensemble des agences de voyages et l'Office du parc national du Tassili (OPNT) à Djanet, en prévision de l'ouverture de la saison touristique. La rencontre a porté sur la mise en place d'un programme de travail avec les partenaires du secteur du tourisme pour l'entretien des sites touristiques autorisés aux visites. Il s'agit notamment de veiller sur l'hygiène et le respect de l'environnement avec la création de points d'eau, mais aussi et surtout la mise en service du bureau d'information de la direction du tourisme au niveau de la ville de Djanet afin de faciliter la tâche des agences de voyages et aplanir les difficultés rencontrées en cours de saison. 42 000 chameaux à Tindouf Les services agricoles de la wilaya de Tindouf font état de la création de trois fermes d'élevage de chamelles laitières et l'encouragement de plus de 81 unités familiales d'élevage par la mise à la disposition de chacune d'elle de 12 têtes de caprins et 5 autres de camelins. La richesse animale de cette wilaya du pays compte 44 000 têtes de caprins, près de 20 000 ovins et 42 000 camelins dont 25 000 chamelles reproductrices. Un Saoudien qui a parlé de sexe LBC condamné à 5 ans de prison Un Saoudien qui s'est épanché sur sa vie sexuelle, à la télévision LBC, basée au Liban, a été condamné à cinq ans de prison, hier, a indiqué son avocat. Mazen Abdoul Jawad a été condamné par une cour criminelle appliquant la loi islamique qui a assimilé ses déclarations à un comportement immoral, a précisé, à l'AFP, cet avocat, Souleiman al-Jimaie. Trois des amis du principal accusé qui étaient apparus dans le même programme ont été condamnés, chacun, à deux ans de prison, a ajouté Me Jimaie. En juillet, ce Saoudien était intervenu dans un talk-show de la LBC, parlant, depuis son appartement de Djeddah (ouest), de ses conquêtes féminines. Repris sur le site de partage de vidéos sur Internet Youtube, le programme a provoqué la colère des milieux conservateurs du Royaume et conduit à son arrestation le 31 juillet. Me Jimaie a contesté le jugement, estimant que son client n'aurait pas dû être jugé par une cour criminelle mais par un tribunal spécialisé dans les délits de presse. « Mon client a servi, aux yeux du public, de bouc émissaire à une faute réelle de LBC », a souligné l'avocat dans un communiqué, après l'annonce du verdict.  >   


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