Algérie

On vous le dit


 L'Algérie serait intéressée par les JM 2017Le Comité international des Jeux méditerranéens (CIJM), présidé par l'Algérien Amar Addadi, vient de lancer un appel en vue de « la candidature d'une ville hôte à l'organisation des 18e jeux en 2017 ». Dans la correspondance, il est souligné aussi que la candidature doit émaner de l'autorité officielle de la ville concernée, après approbation de son Comité national olympique. La désignation de la ville hôte se fera lors de l'AG du CIJM en 2011 et la clôture des dossiers est fixée à juin 2010. C'est dire que notre pays a largement le temps de cogiter cette proposition et de jeter un 'il sur les villes comme Oran ou Annaba, pour ne citer que celles-là. Il y a lieu de rappeler que depuis déjà plus d'une trentaine d'années, l'Algérie n'a pas déposé de candidature pour l'organisation des Jeux méditerranéens. Il faut remonter à 1975 pour trouver la capitale algérienne sur les tablettes de cette organisation internationale. Enfin, pour le moment, le CIJM cherche preneur. Festival international du malouf à ConstantinePour la première fois en Algérie, un festival international de la chanson malouf, du mouashah et du zedjal aura lieu du 2 au 7 octobre avec la participation de six pays arabes : les quatre pays du Maghreb plus la Turquie, le Liban et la Syrie. Cette 3e édition, qui est placée sous le patronage de la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, devra accueillir les meilleures troupes algériennes de malouf tels l'orchestre régional de Constantine dirigé par Samir Boukredera et l'orchestre-pilote de la ville de Constantine sous la direction du monument du malouf, Hadj Mohamed Tahar Fergani. En parallèle, « un séminaire international sur la musique andalouse sera organisé pour la première fois dans la même ville et accueillera des chercheurs algériens et des pays participants », apprend-on du commissaire du festival, le Dr Mohamed Saïd Zerouala. Cinq cas d'intoxication à Ahmeur El AïnAu lendemain des journées de l'Aïd El Fitr, 5 cas d'intoxication ont été déclarés au niveau de la localité d'Ahmeur El Aïn, wilaya de Tipasa. Les victimes sont des enfants en bas âge qui avaient consommé de la viande hachée mélangée avec beaucoup de graisse, achetée auprès d'un commerçant de la ville. « Il n'y a pas de quoi s'inquiéter », déclare le médecin de garde de la polyclinique d'Ahmeur El Aïn. « Les intoxications sont maîtrisées. Les enfants victimes admis dans notre service ont été soignés, nous leur avons prescrit un traitement symptomatique », ajoute-t-il. Les conditions d'hygiène relevées chez de nombreux commerçants sont inquiétantes. Le danger guette les consommateurs perpétuellement, y compris dans les commerces des autres localités de la wilaya de Tipasa.  Le receveur de la poste de Thameur sous contrôle judiciaireLe procureur près le tribunal de Bouira a ordonné la mise sous contrôle judiciaire du receveur de l'unité d'Algérie Poste de la localité de Thameur, dans la commune de Bouira. L'affaire remonte au mois de juillet dernier, lorsqu'une brigade d'inspecteurs d'Algérie Poste a révélé un découvert de près de 200 millions de centimes dans la comptabilité. Il est utile de rappeler, qu'il ne s'agit pas de la première affaire de détournement d'argent signalé dans les bureaux de poste à Bouira ; deux autres affaires du genre ont été enregistrées durant la même période. La première a été signalée en mars dernier dans la commune de Djebahia, où le receveur de l'agence postale s'est enfui avec la bagatelle de 270 millions de centimes, avant de se livrer aux services de sécurité quelques jours plus tard. Jugé, il a écopé d'une peine de trois ans de prison. La deuxième affaire, signalée en mai dernier, concerne le directeur de l'agence postale de la commune d'Ouled Rached, dans la daïra de Bechloul, qui a été relevé de ses fonctions après la découverte d'un « trou » de 125 millions de centimes qui se sont volatilisés du coffre de l'agence. Chute de la production de liège« La gestion des subéraies et la qualité du liège » sera le thème d'une journée d'étude prévue en octobre à l'université de Tlemcen, à l'initiative de la faculté des sciences, en collaboration avec l'Institut national de la recherche forestière et la direction générale des forêts. Cette rencontre verra la participation de plusieurs chercheurs, gestionnaires et industriels qui se pencheront sur le problème de la production du liège, qui a sensiblement chuté ces dernières années tant sur le plan quantitatif que qualitatif. La thématique, abordée pour la première fois à l'université de Tlemcen, permettra de connaître « l'état actuel de la recherche en matière de subériculture en Algérie, d'identifier les facteurs de variation de la production du liège et les difficultés de gestion des subéraies et de la filière liège », précise-t-on.
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