Ayant occupée un logement d'astreinte avec sa famille, une ex-enseignante, répondant aux initiales de B.Y, née Bouziani, résident au sein d'une école aux HLM à Mostaganem, demeure menacée d'expulsion malgré que son époux était également un ex-directeur d'école. Ne sachant à qui s'adresser, cette dernière interpelle le wali de Mostaganem dans une lettre qui lui a été adressée et dont le journal en détient une copie. Cette dame déclare dans sa requête qu'elle reste confrontée à un problème qui dure depuis des années et qui affecte péniblement ma famille et affirme qu'elle a été une ancienne enseignante de l'éducation nationale à la retraite, âgée de 65ans , et son époux lui aussi retraité de l'éducation nationale et âgé de 74 ans et qui a occupé d'importants postes passant d'enseignant à celui de directeur puis chef de personnel à la direction de l'éducation pendant 10 ans et a terminé en tant que directeur de l'école primaire depuis 1996 jusqu'à sa retraite en 1999. Elle ajoute que son mari est atteint de la maladie d'Alzheimer depuis 2012 et il en souffre terriblement et qu'elle est son seul recueil et qu'elle en souffre également d'être à la fois à sa charge et en plus de nous voir sous la menace d'une expulsion du logement de fonction de la ladite école (Aboubakr Belkaid) que nous occupant depuis 1996. Elle souligne également que ni son époux ni elle et ni aucun de mes enfants n'ont bénéficié d'un quelconque logement social ou autre. A maintes reprises, leurs demandes (de désistements, de logement social) ont été rejetées pour des raisons qu'ils ignorent jusqu'à maintenant, et suite à la poursuite judiciaire par le président d'APC de la commune de Mostaganem ils se sont retrouvés devant une situation assez confuses et toute leurs demandes d'audience auprès du P.APC était vaines, cependant ils ont été bien reçu par le chef de la daïra et leur expliqua qu'ils n'ont pas le droit au logement social, mais vu la situation financière de cette famille, elle demeure dans l'incapacité de s'octroyer un logement car la petite retraite de l'époux ne subvient même pas à leurs besoins et aux médicaments de sa maladie qui n'est pas prise en charge, selon les dires de cette femme. Aujourd'hui, cette ex-enseignante sollicite l'intervention du wali de leur venir en secours.
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Posté Le : 16/02/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ismain
Source : www.reflexiondz.net