Algérie

Nouvelles de Tissemsilt


 Un centre de santé en voie de lancement à Maacem Juste après la rentrée scolaire qui s'est annoncée meilleure que les précédentes, le wali a tenu à s'enquérir de l'état d'avancement des projets en chantier dans la daïra de Ammari et la commune de Maacem et donner le signal du lancement des autres. Projet de réalisation d'une sûreté de daïra, d'un célibatorium, d'une unité de la Protection civile, une salle de sport et les 60 logements qui sont en voie d'achèvement et qui seront distribués, selon une source officielle, la fin du mois d'octobre prochain, tels sont les points qui étaient à l'ordre du jour de la visite du wali. A la commune de Maacem, le chef de l'exécutif a donné le signal du lancement d'un projet de réalisation d'un CSP (Complexe sportif de proximité), un centre de soins, un demi-pensionnat, 30 logements sociaux et le bitumage du chemin communal reliant la RN 19 au chef-lieu de la commune en passant par le douar Ouled Mimoun. Une ville étouffée de papeteries improvisées Beaucoup de commerçants improvisés qui étaient avant le Ramadhan des cordonniers, des coiffeurs, des exploitants de KMS ou des gargotiers pour se convertir en pâtissiers traditionnels pendant le carême procèdent actuellement à la vente d'articles scolaires. Outre la complicité du consommateur, l'article 41 qui stipule que l'exercice d'une activité commerciale non portée sur le registre du commerce expose le contrevenant à la fermeture de son local suivie d'une amende allant de 20000 à 200 000 DA semble être totalement effacé afin que l'anarchie, l'informel et la fourberie qui frappent cruellement nos écoliers règnent dans l'indifférence de tout le monde. Forcing des charrettes Il vaut mieux que sa progéniture manque de nourriture en ce jour de l'Aïd plutôt que de la voir habillée en guenilles devant les enfants du quartier bien nippés. C'est là, la corde sensible sur laquelle jouent les commerçants aux mille facettes pour hisser encore plus haut la barre des prix. Pour s'éloigner des fringues chics, le made in china et le forcing de vendeurs ambulants et leurs charrettes, les parents se perdent au milieu des tas de fripes dans l'espoir de trouver un tee-shirt, un pantalon estampillé d'un dessin outrancier, des baskets à 300 DA, une chemise à 150 DA ou un autre gadget pour rendre le sourire aux enfants et à leurs parents.
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