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Nouvelles de Sétif



Nouvelles de Sétif
Maison de la culture Houari Boumediene : virée du patrimoine de la grande KabylieDans le cadre du festival culturel local des arts et cultures populaires, la maison de la culture Houari Boumediene de Sétif, abritera du1er au 5 mars 2014, la semaine culturelle de la wilaya de Tizi Ouzou. Prévue pour ce samedi à 16h, la cérémonie d'ouverture sera animée par la troupe folklorique Idhebbalen qui sera suivie par la chorale polyphonique Anzar, de la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Un ballet de danse folklorique et une animation musicale interprétée par Mehdi Mezeghrane et Youcef Guerbas qui prendront le relais. Dans le hall de la maison de la culture sera meublé, des jours durant, d'une riche exposition du patrimoine : costumes traditionnels, poterie, bijoux, photographie, arts plastiques et plusieurs autres spécificités de cette historique wilaya. La manifestation devrait sûrement drainer la grande foule.Les villes de Aïn El Kebira et Aïn Lahdjar seront elles aussi au rendez-vous le 3 et 4 mars, avec le ballet, danse et chants des monts Djurdjura. La clôture sera animée par Ali Meziane et Si Ammour, les deux autres vedettes de la grande Kabylie en tournée dans la petite. Marwa B. EL EULMA : la cité Rachid Kahoul abandonnéeLes habitants de la cité AADL d'El Eulma, baptisée Rachid Kahoul, se plaignent de la dégradation de leur quartier, sept ans seulement après leur installation. L'absence d'ascenseurs fonctionnels dans leurs immeubles comportant douze étages, est la principale requête des habitants. Ils déplorent par ailleurs l'absence d'un facteur, à la suite de quoi le courrier tarde à arriver à destination. Une telle carence pose de graves problèmes aux citoyens ne pouvant récupérer dans les délais leur courrier. Le manque de prise en charge des espaces verts et d'aires de jeux, censés refléter l'image d'une nouvelle cité, est l'autre tare pointée du doigt. «C'est à se demander où vont les 2500 DA de charges locatives, versées chaque mois», s'interrogent les occupants des lieux. B. A. BIR HADDADA : Dhouaouga sans électricité depuis 17 ansLes habitants du douar Dhouaouga, relevant de la commune de Bir Haddada, vivent dans des conditions totalement précaires, en l'absencede toute commodité digne d'une vie décente. Pour l'illustration, les gens du village sont privés d'électricité depuis 1997, soit depuis plus de17 ans. Ils précisent que toutes les localités environnantes ont été alimentées au réseau électrique. Notons que leur hameau n'estqu'à 5 km du chef-lieu de commune.Pour bénéficier du courant, les villageois ont, à maintes fois, saisi les autorités locales qui n'ont pas donné suite. Pour s'éclairer,ils s'exposent à un danger réel, n'hésitant pas à se brancher illicitement. Au-dessus des toits, les fils électriques entremêlés par dizaines, dénudés pour la plupart, pendent dangereusement du fait de l'inexistence de pylônes, qui se font désirer du côté de Dhouaouga. B. A.




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