Algérie

Nouvelles de Sétif



Nouvelles de Sétif
La SDE sur le terrainle centre culturel Haddad Amar de Aïn Abbassa a abrité en fin de semaine une journée de sensibilisation sur les risques liés au gaz brûlé. Organisé par la SDE (société de distribution d'électricité) sous le slogan cette année de «Vivre en confort avec le gaz naturel». La manifestation a drainé plus de 150 représentants des associations de quartiers des villages limitrophes, tels que Takouka, Batha, El Kherba et Aïn Abbassa centre. L'objectif de cette journée est de rappeler aux utilisateurs de l'énergie gazière les bonnes pratiques et les réflexes adéquats à adopter pour assurer une sécurité totale dans l'utilisation de ce produit, une commodité des temps modernes, il convient de préciser qu'en marge de l'activité un concours de dessins pour enfants, une exposition liée au thème du jour, des présentations et explications directes et bien d'autres manifestations ont été organisés. S'inscrivant dans le cadre d'un programme de prévention contre les risques liés à l'utilisation du gaz naturel, surtout en période hivernale, cette opération a ciblé dans un premier temps les établissements scolaires (écoles primaires, CEM, lycées et centres de formation professionnelle) ainsi que les associations de quartiers et celles qui activent au profit de la femme au foyer. «Les échanges ont porté sur les bases de la prévention qui reste le meilleur moyen pour parer à tout risque que peut engendrer la mauvaise utilisation du gaz naturel sans un respect rigoureux des consignes de sécurité. Cette campagne de communication de proximité, menée à Aïn Abbassa, a permis, en conséquence, d'insister sur le fait que lorsqu'il est utilisé dans de bonnes conditions le gaz naturel est une source d'énergie fiable. L'adhésion du public attentif aux conseils prodigués nous encourage à multiplier ce genre de rencontres devant toucher d'autres localités de la wilaya sachant que la SDE qui est avant une société citoyenne compte tout entreprendre pour matérialiser sur le terrain le slogan de cette année», dira Khalil Hedna, chargé de communication de la SDE. Leila BenaniCulture : revoilà le café littérairela nouvelle direction de la maison de la culture Houari Boumediene de Sétif qui, ne ménageant aucun effort pour redorer le blason de l'institution, prend la louable initiative de mettre sur pied un café littéraire devant insuffler un nouveau souffle à l'activité littéraire du côté de la capitale des Hauts Plateaux qui regorge de compétences et de talents. Pour le coup de starter prévu ce mardi, Mohamed Rabah, écrivain, journaliste et chercheur en histoire aura l'honneur et le privilège d'ouvrir le rendez-vous avec une communication s'articulant autour du parcours du martyr Taleb Abderrahmane.Notons que cet enfant de Bir Djebah à la Casbah d'Alger, fils d'un père ouvrier pâtissier, est mort sur l'échafaud, le 24 avril 1958, à l'aube, à la prison de Serkadji. Il avait ce jour-là à peine 28 ans. L'homme qui a fabriqué des bombes pour les faire exploser à Alger est immortalisé dans l'ouvrage de Mohamed Rabah, «Taleb Abderrahmane, guillotiné le 24 avril 1958». L. B.El Eulma : Oued Sarek manque de toutla cité Oued Sarek, située à l'ouest de la ville d'El Eulma, manque de commodités devant répondre aux attentes de ses occupants. En effet, le manque d'une école primaire et d'un CEM dans la cité pénalise énormément les écoliers, qui sont contraints de se déplacer vers le chef-lieu de commune. A cela s'ajoute le manque de transport desservant le quartier. Ces difficultés encouragent celui clandestin à prendre de l'ampleur dans toute la région. L'autre problème épineux dont souffrent les habitants est sans conteste le manque d'eau à longueur d'année. Ils ne doivent leur salut, pour s'approvisionner en eau potable, qu'à l'eau des puits non contrôlés avec tout ce que cela peut engendrer comme maladies à transmission hydrique. La cité souffre de plusieurs autres manques, dont le raccordement au réseau du gaz naturel ainsi qu'à celui de l'énergie électrique. Notons à toute fin utile, que le tiers des résidants de cette cité, au nombre de 700 familles, endure un véritable calvaire, en raison de l'absence de ces deux commodités, élémentaires dans la vie quotidienne. Par conséquent, les riverains appellent les autorités locales et les services concernés à agir afin de trouver une solution à leur souffrance qui dure depuis des années. Benabdallah A.




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