Le président de l'APC de Sidi Lakhdar sera suspendu de ses fonctionsLe maire de Sidi Lakhdar d'obédience RND devrait être suspendu de ses fonctions dans les jours qui suivent. Une décision entrant dans le cadre de la réglementation en vigueur, en appliquant l'article 43 de la loin° 11-10 du 22/01/2011 portant code de la commune qui stipule que tout élu faisant l'objet de poursuites judiciaires pour crime ou délit en rapport avec les deniers publics ou pour atteinte à honneur ou ayant fait l'objet de mesures judiciaires ne lui permettant pas de poursuivre valablement l'exercice de son mandat électif, est suspendu par arrêté du wali, jusqu'à intervention de la décision définitive de la juridiction compétente.En effet, ce élu qui traîne derrière lui déjà une condamnation de deux ans de prison ferme dans l'affaire de la sablière à Sidi Lakhdar d'une année de prison ferme et 6 mois de sursis assortie d'une amende de 10 millions de centimes relative à l'aménagement et équipement du nouveau siège de l'APC , vient d'être tout récemment d'être mis sous contrôle judiciaire pour une autre affaire de faux usage de faux, concernant la falsification de l'attestation de salaire d'une fille d'un commis de l'Etat? Le maire a signé le document mentionnant que la jeune femme est employée comme couturière au niveau de l'APC avec un revenu annuel de 36 millions de centimes, pour lui permettre d'accéder au droit de bénéficier d'un logement social du quota des 169 LSP à Sidi Lakhdar. Mort suspecte d'un septuagénaire à Sidi AliLes éléments de la Protection civile ont évacué, ce dimanche, une personne retrouvée morte, pendue à un olivier à l'aide d'une corde, à proximité de son lieu d'habitation, sis au douar Chetouna, relevant de la commune de Sidi Ali, 50 km à l'est de Mostaganem. Il s'agit d'un homme, âgé de 75 ans, dont la dépouille a été déposée à la morgue de l'hôpital de Sidi Ali pour autopsie. Selon des sources locales, le défunt porte des blessures à l'arme blanche au niveau du thorax et ne souffrait d'aucune maladie psychique. Une enquête a été diligentée par les services concernés pour déterminer les circonstances de ce triste drame qui vient mettre en émoi toute la région.La salle rouge au secours du 7e artEtant sans salles de cinéma depuis plusieurs années, la wilaya de Mostaganem pourra compter, dans les jours à venir, sur la disponibilité de la salle rouge de la Maison de la culture Ould Abderrahmane Kaki, pour renouer avec les férus des salles obscures. En effet, après avoir abrité la 3e édition du panorama du documentaire et film révolutionnaires, du 3 au 7 novembre, la salle rouge a montré des conditions propices à la projection de courts et longs métrages en attendant l'ouverture de vraies salles de cinéma, comme l'a annoncé le ministre de la Culture lors de sa dernière visite à Mostaganem.Pour davantage d'informations, nous avons contacté le directeur de la culture, qui nous a confié : «Oui, en effet, la salle rouge nous a montré, à travers ces journées cinématographiques, qu'elle pourrait bien être un espace de projection durant toute l'année bien qu'elle se limite à 112 places. Cependant, la salle Cheikh Hamada sera opérationnelle en décembre prochain.»Une nouvelle qui fera certainement des heureux parmi les Mostaganémois surtout que la wilaya est en sérieux manque de lieux de divertissement. Pour rappel, le film de Zabana, sorti en 2012, dont la majorité des comédiens sont de Mostaganem, n'a pas pu être projeté jusqu'à cette fois-ci, à l'occasion du panorama du film et documentaire révolutionnaires qui, à noter, a été marqué par une présence considérable du public cinéphile.
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Posté Le : 08/11/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L H et Salim Skander
Source : www.elwatan.com