BEAUCOUP DE PROJETS à BADJI MOKHTAR L?université Badji Mokhtar poursuit toujours l?extension de ses capacités d?accueil. Il ne s?agit pas d?une recherche de gigantisme, mais d?une démarche qui colle à la réalité du terrain. Ce dernier est occupé par un bassin de population estudiantine dont les effectifs sont en constante évolution. Ainsi, après la récente réception des 8000 places pédagogiques et les 3000 lits formant une résidence universitaire sur le pôle universitaire El Bouni, le lancement des travaux de 7000 autres places pédagogiques (droit-architecture-médecine) et d?une résidence de 2000 lits avec dépendance, d?autres projets devraient démarrer prochainement. Il s?agit de 4000 places pédagogiques de la faculté de médecine avec un 2e restaurant. Suivront les projets de réalisation de 3 grandes cités universitaires avec dépendances à Sidi Achour (3000 lits), Sidi Amar (4000 lits) et El Bouni (5000 lits). LA POLICE SéVIT La vigilance des services de police s?est accentuée ces derniers jours. Particulièrement à proximité de la plage Rizzi Amor et du boulevard Benbouali où les jeunes conducteurs sont systématiquement contrôlés. Bien fait, car beaucoup d?entre eux ont été surpris en flagrant délit de conduite en état d?ivresse. Quant aux motocyclistes habitués des rallyes, ils sont pratiquement interdits de séjour sur tout le long de la corniche. En décidant de la mise en fourrière systématique des motocycles, les policiers semblent avoir trouvé un moyen infaillible pour dissuader ces fous des deux roues. A quand un moyen infaillible pour les truands autoproclamés gardiens de parking et propriétaires de toutes les bordures des trottoirs, y compris celles signalées stationnement interdit ? « BLANCHE ALGéRIE » à SIDI AMAR ET EL HADJAR Dans les communes de Sidi Amar et d?El Hadjar, les brigades d?entretien et de maintenance de l?environnement dans le cadre de l?opération « Blanche Algérie » sont à l??uvre. Dans ces deux communes, des trottoirs ont été créés ou, pour ceux existants, relookés. Ce qui a donné une autre image à ces deux grandes cités chefs-lieux de commune. Notamment à Sidi Amar qui, avec ses grands et spacieux boulevards ainsi que la disparition du marché informel des fruits et légumes, a pris les couleurs d?une cité réellement moderne. Ce qui n?est pas le cas à Annaba où, après avoir fait l?objet de travaux de mise en place d?une conduite d?eau, la rue longeant le cimetière chrétien est livrée à l?abandon. Très fréquentée par les automobilistes cherchant à éviter la circulation du boulevard du 1er novembre, cette rue n?est plus qu?une longue et large tranchée.
Posté Le : 27/06/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : R. A. I.
Source : www.elwatan.com