Algérie

Nouvelles de Annaba



Les vieilles femmes et les accidents Outre les délinquants autoproclamés gardiens de parking même en des lieux de stationnement interdit, les automobilistes devraient aussi tenir compte du comportement de certaines femmes âgées. La mode est à « la vieille femme victime d?un accident alors qu?elle était avec son fils ». L?astuce est simple : la vieille femme accompagnée de son jeune complice guette l?arrivée d?un véhicule conduit par un jeune homme ou une jeune fille très sensible à l?affolement. Puis, au moment où les freins crissent, elle se jette devant les roues. Avec les « aïe mon pied, par-ci, aïe mon genou, par-là », le résultat est vite atteint. Pour se tirer d?affaire, le ou la jeune automobiliste met la main au portefeuille. En effet, en cours de route vers l?hôpital, le fils négocie le prix de « kaddar rabi ouel el tof » généralement fixé à 1000 à 2000 DA que le conducteur affolé remet avec plaisir tout en se confondant en excuses. Reprise du Capa La reprise des études en droit des étudiants capacitaires est prévue pour le 15 juin. Sur les 1500 candidats prévus des wilayas d?Annaba, Guelma, Tébessa, Souk Ahras, El Tarf, 386 se sont déjà inscrits dans cette filière. Ouvertes le 2 juin, les inscriptions devraient être achevées le 13 juin. Cette reprise des études du Capa est devenue impérative. La pression sur le barreau d?Annaba étant devenue intolérable devant l?important afflux des candidats au CAPA, dont les cours avaient été suspendus depuis trois années. Alertes aux vrais faux numéros de taxi La wilaya d?Annaba compte officiellement quelque 3500 licences de taxi inscrites sur les registres de la direction des anciens moudjahidine, seule habilitée à l?octroi de ce type de document. Ils sont certainement plus de 6000 taxis entre l?urbain, l?interurbain et l?interwilayas à circuler et à transporter. Il s?est avéré que plusieurs bénéficiaires de licence de taxi attribuent leur seul et unique numéro à plusieurs exploitants de véhicule, majoritairement des fonctionnaires. Ces voitures à vrais faux numéros de taxi circulent en toute liberté dans les artères de la ville. Ils n?ont même pas été perturbés par l?affaire d?une vieille femme dépouillée, il y a quelques semaines, de ses bijoux par un chauffeur de taxi sur les hauteurs de Sidi Aïssa. La vieille femme avait pris la précaution de noter le numéro du taxi que conduisait son agresseur. Il s?est avéré qu?il s?agissait d?une autre personne et d?un autre type de véhicule et que le chauffeur du taxi portant le même numéro que celui de l?agresseur avait un solide alibi au moment de l?agression.


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