Algérie

Nouvelles de Annaba


5000 CARTES DE SOINs DISTRIBUéES PAR LA DAS En matière d?assistance, d?aide et d?orientation des couches démunies, des handicapés et des personnes âgées, la Direction de l?action sociale (DAS) poursuit ses actions. Cette fois, c?est au tour des familles véritablement dans le besoin d?une assistance médicale d?en bénéficier. En effet, cette structure du ministère de l?Emploi et de la Solidarité a procédé à la distribution de 5000 cartes de soins gratuits. Effectuée en collaboration avec la direction locale de la Caisse nationale d?assurances sociales (CNAS), cette carte permet au titulaire de bénéficier gratuitement des médicaments nécessaires auprès de n?importe quelle officine. PLACE DU THEâTRE : TRAFICS en TOUs GENRES Réceptionnée il y a quelques semaines, la place Tarek Ibn Ziad, derrière le théâtre Azzedine Medjoubi, a subi de nombreuses dégradations. Et si le bois verni de plusieurs bancs a disparu, la peinture enjolivant les murs a été souillée par des personnes ignorant tout du civisme. Cette place est le lieu de rendez-vous privilégié des trafiquants, contrebandiers, délinquants et repris de justice. Leur présence gêne énormément les riverains, habitants et commerçants qui ont dénoncé cette situation aux autorités locales, en vain. « C?est toute une pègre qui se réunit quotidiennement sur cette place où le trafic des véhicules volés bat son plein au vu et su de tout le monde, y compris de la police. L?Etat est absent à Annaba », affirme Mohamed Larbi H., un des habitants de ce lieu situé au centre-ville. MURS DE SABLE DANS LA VILLE Les « murs de sable » dits de sécurité, entreposés au niveau des barrages de police implantés en différents points stratégiques de la ville, ont intrigué plus d?un. D?autant plus, affirme-t-on, que cette mesure de sécurité n?a pas été appliquée au plus fort des actes terroristes de la décennie noire. Au moment où l?Etat ne cesse de lancer des appels aux investisseurs étrangers et que l?aspect sécuritaire paraît être bien maîtrisé, ces murs de sable agressent le regard. Ils donnent aux visiteurs l?impression que la ville est en état de siège. « On ne sait pas ce qui s?est passé dans l?esprit des initiateurs de cette mesure de prudence extrême, digne d?un état de guerre. Y a-t-il risque d?attentats terroristes et, dans ce cas, nous sommes en droit d?en être informés », a déclaré un important opérateur économique en activité dans la wilaya de Annaba.
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