Nouvelles d'Oran Oran : les autres articles

Poste de Miramar : des usagers dénoncent le mépris
Beaucoup d'usagers de la poste de Miramar se plaignent «du mépris qu'affichent certains préposé (ées) au guichet CCP qui refusent souvent d'effectuer les opérations de retrait de liquidités pour des raisons pour le moins non sensées». «Une des préposées au guichet CCP a refusé d'assurer le retrait d'une somme d'argent que j'avais demandée sous prétexte que ma signature n'est pas conforme», se plaint une fonctionnaire. «Ma signature est très conforme et la préposée au guichet n'a qu'à vérifier ma carte d'identité que je lui ai pourtant présentée. C'est de la hogra», dit-elle. Un autre usager se plaint lui aussi de l'attitude souvent méprisante qu'affichent certains employés de cette agence postale. «Ces employés oublient que leurs salaires découlent de l'argent des clients», commente un autre usager. R. O.

Haï Yasmin : des foyers sans eau
Les habitants de tous les ensembles immobiliers LSP de Haï Yasmin connaissent actuellement une sérieuse perturbation dans l'alimentation en eau potable. En effet, depuis mercredi, ils font face à des coupures récurrentes durant toute la journée. Ce n'est que tard dans la nuit qu'ils sont alimentés pour être ensuite encore une fois privés, pour une autre journée, de cette source de vie. Une situation qui dure ainsi voilà déjà quatre jours. «Je m'étais absenté avec ma famille depuis jeudi mais à mon retour, je fus surpris de ne pas voir couler l'eau des robinets», s'offusqua un père de famille. «Nous priver d'eau un vendredi et en cette période de chaleur, cela est vraiment regrettable», se désole un autre habitant qui est allé vers la mosquée la plus proche pour faire ses ablutions. Il est un autre souci pour ces habitants contraints de s'approvisionner auprès des commerçants d'eau dont certains avaient déjà liquidé leurs citernes devant la forte demande. Une demande qui se fera encore plus pressante vu que lors de la journée d'hier les robinets étaient encore à sec. H. S.

Aïn El Turck : le transport des malades est un calvaire
Si la saison estivale est synonyme de loisirs et de détente pour la majorité des citoyens, pour les services de la protection civile prévention et ceux hospitaliers, c'est un vrai calvaire, notamment quant il s'agit d'évacuer les cas compliqués et vers les urgences d'Oran. Les longues files de voitures et les encombrements sur tout l'axe Oran-Aïn El Turck n'est pas pour faciliter la mission des ambulanciers et des camions des pompiers qui n'ont d'autre choix que d'emprunter cet axe pour évacuer leurs malades vers Oran ou aller intervenir sur les accidents de la circulation et autres incidents. Souvent, ils doivent faire preuve de beaucoup de dextérité pour se frayer un chemin. Heureusement qu'aucun cas de perte de malade n'a été signalé en cours de transfert, étant donné que les premiers soins sont déjà donnés dans l'ambulance même. Il est incompréhensible que la daïra d'Aïn El Turck dispose d'un hôpital, qui n'est pas doté d'un service performant des urgences. Karim Bennacef

Bir El Djir : la SDO explique les raisons de la coupure d'électricité
La Direction de distribution d'électricité et du gaz (SDO) d'Oran explique la coupure d'électricité ayant affecté, le 18 août dernier, des foyers à Bir El Djir par «une atteinte du réseau provoquée par un engin appartement à une entreprise de travaux qui a arraché un câble souterrain alimentant une grande partie du secteur de Bir El Djir». «A cet effet, une intervention a été effectuée par nos équipes sur le terrain pour rétablir le courant dans un meilleur délai et cela, suite au changement du câble défectueux. Le poste de distribution d'énergie électrique situé au siège de la daïra de Bir el Djir a été fermé à clef, chose qui a empêché nos agents d'intervenir plus vite jusqu'à l'arrivée de l'agent de la daïra qui était en possession de la clef. La majorité des coupures enregistrées dans la localité de Bir El Djir sont dues aux atteintes tiers qui ont causé un préjudice énorme pour la direction et les abonnés», explique la SDO. T. K.