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Nouvelles d'Oran



Nouvelles d'Oran
Une famille en dangerUne famille habitant rue de Lamartine, au centre-ville d'Oran, vit une situation dramatique suite à l'effondrement partiel du sol de leur habitation au RDC. En effet, un trou béant s'est ouvert dans l'une des chambres.La dame âgée de 82 ans, qui occupe les lieux en compagnie de sa fille unique, a failli perdre la vie, la semaine dernière, après avoir vu le sol s'effondrer sous ses pieds et être précipitée quelques mètres plus bas dans la cave. Elle ne dut son salut qu'aux voisins qui l'ont sortie du trou dans lequel elle était restée plusieurs heures. La dame s'en est sortie avec une fracture au péroné. Selon elle, l'immeuble en question, où elle est locataire depuis 1972, est une propriété appartenant à un privé et affiche des signes sérieux de vétusté. De nombreuses requêtes d'aménagement ont été adressées au propriétaire mais sont demeurées vaines. Les transporteurs en colèreLe tarif de 350 DA versé tous les jours comme droit de stationnement par les transporteurs de voyageurs assurant le suburbain Oran-Boutlélis fait jaser la corporation. Celle-ci vient de déposer une plainte auprès du bureau régional du syndicat de l'Union nationale des transporteurs algériens (UNAT) d'Oran pour dénoncer ce tarif exorbitant. Dans le cahier des charges définissant les conditions d'exploitation de cette station, aucun droit de stationnement n'est mentionné, un vide que les transporteurs ont tenu à mettre en exergue en appelant les pouvoirs publics à se pencher sérieusement sur la question. Selon le syndicat UNAT, les exploitants demandent l'intervention du wali d'Oran pour que ce droit soit étudié et fixé par la réglementation.A noter que 46 transporteurs de minibus Toyota activent sur cette desserte. Ils exigent que des solutions concrètes soient apportées pour en finir avec ce problème qui risque d'avoir des conséquences sur l'activité.Une tentative d'émigration clandestine déjouéeAgissant sur la base d'informations, les policiers de Boutlélis ont interpellé 14 individus, âgés entre 19 et 30 ans, qui avaient l'intention de rallier les côtes espagnoles à partir de la plage de Cap blanc. Jeudi dernier, 4 tentatives ont également été déjouées au large de Aïn El Turck et 52 personnes ont été arrêtées dont un couple et ses trois enfants.Les garde-côtes ont intensifié leur dispositif de patrouille en mer dans le but de mettre un terme à ce phénomène. Le propriétaire d'un chien sera jugé pour l'agression d'un enfant Le dénommé K. A. sera jugé par le tribunal criminel de la cour d'Oran le 29 novembre, pour «torture». Ce mis en cause a été cité dans l'affaire du jeune enfant du quartier Ibn Sina (ex- Victor Hugo) qui a été torturé par un chien.Une affaire qui a éclaté suite à la diffusion sur les réseaux sociaux et les médias nationaux et internationaux d'une vidéo montrant un enfant âgé d'à peine 7 ans malmené par un chien sous le regard amusé de 4 jeunes qui excitaient l'animal. Suite au premier procès, le mis en cause avait été condamné à 10 ans de réclusion criminelle par contumace. Une affaire qui, rappelons-le, avait soulevé une forte colère chez les citoyens et les défenseurs des droits des enfants.En janvier 2015, l'enfant sort pour aller jouer dans la rue avec des amis de son âge. Ce jour-là, 4 jeunes, âgés d'un peu plus de la vingtaine, optent pour un jeu brutal avec cet enfant. Ils lancent une chienne sur lui et filme la réaction de l'enfant face à l'animal hyper excité. Sur la vidéo, on voit l'enfant crier et pleurer tentant de fuir et un des jeunes qui le tirait vers la chienne Zigova extrêmement agressive. Cette vidéo a poussé le parquet d'Oran à ordonner l'ouverture d'une enquête.


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