Malgré les accords signés entre le Cnapeste et le ministère de l'Education nationale, une nouvelle grève se profile à l'horizon. Profitant des vacances de printemps, les enseignants affiliés à ce syndicat organisent des assemblées générales dans les wilayates pour décider de la suite à donner au nouveau conflit qui les oppose à la première responsable du secteur, Nouria Benghabrit.Malgré les accords signés entre le Cnapeste et le ministère de l'Education nationale, une nouvelle grève se profile à l'horizon. Profitant des vacances de printemps, les enseignants affiliés à ce syndicat organisent des assemblées générales dans les wilayates pour décider de la suite à donner au nouveau conflit qui les oppose à la première responsable du secteur, Nouria Benghabrit.
Selon des premières indications, les adhérents du Cnapeste se dirigent vers une nouvelle grève qui sera déclenchée à la rentrée. Mais il ne s'agit pas cette fois-ci d'une grève "illimitée". Il est question, selon nos sources, d'une grève de 3 jours par semaine. Concrètement, les enseignants travailleront les dimanche, débrayeront lundi, mardi et mercredi et reprendront le travail jeudi. Selon des cadres du Cnapeste, cette grève est motivée par les ponctions sur salaires opérées par le ministère de l'Education nationale lors de la dernière grève de janvier dernier.
Les enseignants sont également en colère contre la défalcation des primes de rendement des journées de grève. Si aucune solution n'est trouvée, l'école algérienne se retrouvera dans une nouvelle crise dans une dizaine de jours. La situation est d'autant plus difficile que les élèves, notamment ceux qui sont concernés par les examens de fin d'année, n'ont pas encore rattrapé les coups perdus durant la grève de janvier dernier, notamment pour les candidats au baccalauréat des wilayas de Béjaïa et Blida où la grève a duré plus de 3 mois.
Selon des premières indications, les adhérents du Cnapeste se dirigent vers une nouvelle grève qui sera déclenchée à la rentrée. Mais il ne s'agit pas cette fois-ci d'une grève "illimitée". Il est question, selon nos sources, d'une grève de 3 jours par semaine. Concrètement, les enseignants travailleront les dimanche, débrayeront lundi, mardi et mercredi et reprendront le travail jeudi. Selon des cadres du Cnapeste, cette grève est motivée par les ponctions sur salaires opérées par le ministère de l'Education nationale lors de la dernière grève de janvier dernier.
Les enseignants sont également en colère contre la défalcation des primes de rendement des journées de grève. Si aucune solution n'est trouvée, l'école algérienne se retrouvera dans une nouvelle crise dans une dizaine de jours. La situation est d'autant plus difficile que les élèves, notamment ceux qui sont concernés par les examens de fin d'année, n'ont pas encore rattrapé les coups perdus durant la grève de janvier dernier, notamment pour les candidats au baccalauréat des wilayas de Béjaïa et Blida où la grève a duré plus de 3 mois.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 20/03/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R N
Source : www.lemidi-dz.com