Algérie

Nouvelle crise au FFS



Décidément, le FFS n'arrive pas à connaître de stabilité. En effet, de crise en crise, le plus vieux parti de l'opposition peine à trouver une certaine quiétude. Ainsi, le FFS est de nouveau secoué par une novelle crise interne.Décidément, le FFS n'arrive pas à connaître de stabilité. En effet, de crise en crise, le plus vieux parti de l'opposition peine à trouver une certaine quiétude. Ainsi, le FFS est de nouveau secoué par une novelle crise interne.
Un membre de sa plus haute instance exécutive, à savoir l'Instance présidentielle(IP), vient de porter ceconflit à la connaissance des militants duparti, et de l'opinion publique ensuite.Des cadres du parti sont eux aussi encolère, et l'ont clairement signifié endémissionnant de certaines structures.Tout ce beau monde a même organisé unrassemblement de protestation devant lesiège national du parti, avant-hier samedi,pour appeler au respect des statuts quirégissent le FFS. Le premier Secretairenational, Mohamed hadj Djilani, constituela cible favorite de ces frondeurs quidemandent à ce qu'il soit
évincé de ceposte de direction. Hayat Tayati, membrede l'IP, fait partie des frondeurs au mêmetitre que l'ancien premier Secrétaire national,Abdelmalek Bouchafa. Ce dernier ad'ailleurs annoncé sa démission d'une instancede concertation. De plus, un membre du Secrétariat national en charge du développementdurable, a lui aussi jeté l'éponge, en démissionnant.C'est dire, que rien ne va plus au FFS tantle parti s'enfonce chaque jour davantage,dans la crise qui menace grandement sacohésion. Si Hadj Djilani, à qui il estreproché de n'être légalement même pasmembre du Conseil national et qu'il nedoit par conséquent, pas diriger leSecrétariat national, cristallise cette crise,d'aucuns estiment que le principal visé par cette montée au créneau, n'est autre que Ali Laskri, le tout puissant membre de l'IP.
Laskri, qui est présenté comme l'homme fort du parti et qui a réussi lors du dernier congrès extraordinaire, à battre le groupe de la famille Baloul malgré le fait qu'il jouissait du soutien de la famille de Hocine Ait Ahmed, est donc très contesté par une frange du parti. On lui reproche son autoritarisme dans la gestion des affaires du parti. e FFS est plongé dans la crise et les démissions, où les evictions et les exclusions font légion, depuis un certain temps déjà. Il y'a juste quelques semaines, l'exchef du groupe parlementaire,
Chaffa Bouaiche, a été exclu. D'abord suspendu pour une durée de six mois, il a ensuite été carrément exclu, au motif qu'il ne souscrivait pas à ses obligations financières alors que lui clame le contraire, puisque il a déclaré être totalement en règle, en payant toutes ses cotisations. Salima Ghezali, députée elle aussi, a été exclue pour avoir, selon la direction du parti, enfreint les statuts lorsqu' elle a dressé une lettre ouverte au chef d'etat major de l'ANP. Ces deux exclusions, notamment celle de Salima Ghezali qui a été une conseillère du defunt chef charismatique du FFS, ont suscité une vague d'indignation et le soutien de la famille de Hocine Ait Ahmed qui a dénoncé les dérives de la direction. Il est clair que cette lutte intestine au sein du FFS, ne va pas s'arrêter à ce stade, tant d'autres démissions et exclusions sont attendues à l'avenir.
Un membre de sa plus haute instance exécutive, à savoir l'Instance présidentielle(IP), vient de porter ceconflit à la connaissance des militants duparti, et de l'opinion publique ensuite.Des cadres du parti sont eux aussi encolère, et l'ont clairement signifié endémissionnant de certaines structures.Tout ce beau monde a même organisé unrassemblement de protestation devant lesiège national du parti, avant-hier samedi,pour appeler au respect des statuts quirégissent le FFS. Le premier Secretairenational, Mohamed hadj Djilani, constituela cible favorite de ces frondeurs quidemandent à ce qu'il soit
évincé de ceposte de direction. Hayat Tayati, membrede l'IP, fait partie des frondeurs au mêmetitre que l'ancien premier Secrétaire national,Abdelmalek Bouchafa. Ce dernier ad'ailleurs annoncé sa démission d'une instancede concertation. De plus, un membre du Secrétariat national en charge du développementdurable, a lui aussi jeté l'éponge, en démissionnant.C'est dire, que rien ne va plus au FFS tantle parti s'enfonce chaque jour davantage,dans la crise qui menace grandement sacohésion. Si Hadj Djilani, à qui il estreproché de n'être légalement même pasmembre du Conseil national et qu'il nedoit par conséquent, pas diriger leSecrétariat national, cristallise cette crise,d'aucuns estiment que le principal visé par cette montée au créneau, n'est autre que Ali Laskri, le tout puissant membre de l'IP.
Laskri, qui est présenté comme l'homme fort du parti et qui a réussi lors du dernier congrès extraordinaire, à battre le groupe de la famille Baloul malgré le fait qu'il jouissait du soutien de la famille de Hocine Ait Ahmed, est donc très contesté par une frange du parti. On lui reproche son autoritarisme dans la gestion des affaires du parti. e FFS est plongé dans la crise et les démissions, où les evictions et les exclusions font légion, depuis un certain temps déjà. Il y'a juste quelques semaines, l'exchef du groupe parlementaire,
Chaffa Bouaiche, a été exclu. D'abord suspendu pour une durée de six mois, il a ensuite été carrément exclu, au motif qu'il ne souscrivait pas à ses obligations financières alors que lui clame le contraire, puisque il a déclaré être totalement en règle, en payant toutes ses cotisations. Salima Ghezali, députée elle aussi, a été exclue pour avoir, selon la direction du parti, enfreint les statuts lorsqu' elle a dressé une lettre ouverte au chef d'etat major de l'ANP. Ces deux exclusions, notamment celle de Salima Ghezali qui a été une conseillère du defunt chef charismatique du FFS, ont suscité une vague d'indignation et le soutien de la famille de Hocine Ait Ahmed qui a dénoncé les dérives de la direction. Il est clair que cette lutte intestine au sein du FFS, ne va pas s'arrêter à ce stade, tant d'autres démissions et exclusions sont attendues à l'avenir.


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