Un attentat à la voiture piégée, revendiqué par les talibans, a fait au moins trois morts et plusieurs blessés, samedi 17 mars 2018, à Kaboul. Une réponse sanglante à la proposition du président afghan d'engager des pourparlers de paix. Kaboul, de nouveau cible d'un attentat. Les talibans, de nouveau à l'origine de l'attaque. Une voiture piégée a en effet explosé, samedi 17 mars 2018, dans la capitale afghane, faisant au moins trois tués et plusieurs blessés.Un attentat à la voiture piégée, revendiqué par les talibans, a fait au moins trois morts et plusieurs blessés, samedi 17 mars 2018, à Kaboul. Une réponse sanglante à la proposition du président afghan d'engager des pourparlers de paix. Kaboul, de nouveau cible d'un attentat. Les talibans, de nouveau à l'origine de l'attaque. Une voiture piégée a en effet explosé, samedi 17 mars 2018, dans la capitale afghane, faisant au moins trois tués et plusieurs blessés.
Tous civils. Des coiffeurs et des cireurs de chaussures, d'après un témoin. Selon un porte-parole du ministère de l'Intérieur, une compagnie de sécurité britannique, G4S, était visée. Mais le kamikaze s'est fait exploser avant d'atteindre sa cible située dans une zone industrielle. Depuis le début de l'année, plus de 130 personnes ont été tuées dans la capitale afghane. En majorité des civils.
Cette nouvelle attaque met à mal la stratégie du président Ashraf Ghani, qui a proposé aux talibans d'engager des pourparlers de paix. Il s'est notamment dit prêt à leur accorder le statut de parti politique en échange d'une reconnaissance de la constitution de 2004. Les talibans ont jusqu'à présent refusé de négocier avec un régime afghan qu'ils considèrent être inféodé aux Etats-Unis. Ils se sont en revanche déclarés disposés à des discussions directes avec le président américain.
Tous civils. Des coiffeurs et des cireurs de chaussures, d'après un témoin. Selon un porte-parole du ministère de l'Intérieur, une compagnie de sécurité britannique, G4S, était visée. Mais le kamikaze s'est fait exploser avant d'atteindre sa cible située dans une zone industrielle. Depuis le début de l'année, plus de 130 personnes ont été tuées dans la capitale afghane. En majorité des civils.
Cette nouvelle attaque met à mal la stratégie du président Ashraf Ghani, qui a proposé aux talibans d'engager des pourparlers de paix. Il s'est notamment dit prêt à leur accorder le statut de parti politique en échange d'une reconnaissance de la constitution de 2004. Les talibans ont jusqu'à présent refusé de négocier avec un régime afghan qu'ils considèrent être inféodé aux Etats-Unis. Ils se sont en revanche déclarés disposés à des discussions directes avec le président américain.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 20/03/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Midi Libre
Source : www.lemidi-dz.com