Nouveau procès d'Hosni Moubarak pour une affaire de corruption

Un nouveau procès de l'ancien président égyptien Hosni Moubarak et de ses deux fils, accusés de détournement de fonds publics employés pour rénover une propriété familiale, s'est ouvert samedi au Caire.Un nouveau procès de l'ancien président égyptien Hosni Moubarak et de ses deux fils, accusés de détournement de fonds publics employés pour rénover une propriété familiale, s'est ouvert samedi au Caire.Moubarak, 86 ans, actuellement soigné dans un hôpital militaire de la capitale, avait été condamné en première instance en mai dernier à trois ans d'emprisonnement dans cette affaire. Ses deux fils avaient écopé de peines de quatre ans de prison. En janvier, la justice égyptienne avait annulé ces condamnations en appel ouvrant la voie à un nouveau procès.La télévision égyptienne a diffusé des images de l'ancien chef de l'Etat et de ses deux fils installés dans une cage dans une salle d'audience de l'académie de police. L'affaire a été ajournée au 29 avril. En novembre, Moubarak avait été acquitté des charges de complot en vue de tuer des manifestants lors du soulèvement populaire de 2011 qui avait conduit à la chute de son régime. En janvier, les deux fils de Moubarak avaient été remis en liberté en attentant le nouveau procès pour corruption.Moubarak, 86 ans, actuellement soigné dans un hôpital militaire de la capitale, avait été condamné en première instance en mai dernier à trois ans d'emprisonnement dans cette affaire. Ses deux fils avaient écopé de peines de quatre ans de prison. En janvier, la justice égyptienne avait annulé ces condamnations en appel ouvrant la voie à un nouveau procès.La télévision égyptienne a diffusé des images de l'ancien chef de l'Etat et de ses deux fils installés dans une cage dans une salle d'audience de l'académie de police. L'affaire a été ajournée au 29 avril. En novembre, Moubarak avait été acquitté des charges de complot en vue de tuer des manifestants lors du soulèvement populaire de 2011 qui avait conduit à la chute de son régime. En janvier, les deux fils de Moubarak avaient été remis en liberté en attentant le nouveau procès pour corruption.