Algérie

« Nous voulons un vrai transfert de technologies et de savoir-faire »


«Les relations économiques et commerciales entre l'Algérie et l'Iran n'ont pas atteint les résultats escomptés. Le Conseil d'affaires mixte des opérateurs économiques algériens et des hommes d'affaires iraniens doit stimuler les relations bilatérales et donner un nouveau souffle à notre coopération» a notamment déclaré, hier, le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) Tahar Kellil, au cours d'une rencontre avec des industriels iraniens.«Les relations économiques et commerciales entre l'Algérie et l'Iran n'ont pas atteint les résultats escomptés. Le Conseil d'affaires mixte des opérateurs économiques algériens et des hommes d'affaires iraniens doit stimuler les relations bilatérales et donner un nouveau souffle à notre coopération» a notamment déclaré, hier, le président de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI) Tahar Kellil, au cours d'une rencontre avec des industriels iraniens.
En dépit de la visite de nombreuses délégations d'hommes d'affaires iraniens en Algérie, ces dernières années, le niveau de partenariat entre les deux pays n'a pas évolué, notamment sur la plan économique où beaucoup reste à faire, tandis que sur le plan politique, le président de la délégation iranienne a fait l'éloge de l'excellence des relations bilatérales. Kellil a mis en exergue, en fait, la faiblesse des échanges entre les deux pays et le manque de consistance dans le pilotage de projets communs de développement économique, en affirmant que «l'Algérie a besoin d'une véritable coopération et d'un réel partenariat avec l'Iran», en mettant l'accent «sur le transfert de technologies et la création d'emplois et de richesses». Il s'agit, selon lui le principal objectif que l'Algérie veut atteindre sachant que l'Iran, a t-il dit, «possède de hautes technologies industrielles dans les secteurs de la construction et de l'habitat, des chemins de fer, de l'énergie, dans la production agroalimentaire et d'autres domaines» ;
Le président de la CACI préconise «un partenariat commun fondé sur une étroite collaboration de type business to business entre les entrepreneurs algériens et les investisseurs iraniens».
En dépit de la visite de nombreuses délégations d'hommes d'affaires iraniens en Algérie, ces dernières années, le niveau de partenariat entre les deux pays n'a pas évolué, notamment sur la plan économique où beaucoup reste à faire, tandis que sur le plan politique, le président de la délégation iranienne a fait l'éloge de l'excellence des relations bilatérales. Kellil a mis en exergue, en fait, la faiblesse des échanges entre les deux pays et le manque de consistance dans le pilotage de projets communs de développement économique, en affirmant que «l'Algérie a besoin d'une véritable coopération et d'un réel partenariat avec l'Iran», en mettant l'accent «sur le transfert de technologies et la création d'emplois et de richesses». Il s'agit, selon lui le principal objectif que l'Algérie veut atteindre sachant que l'Iran, a t-il dit, «possède de hautes technologies industrielles dans les secteurs de la construction et de l'habitat, des chemins de fer, de l'énergie, dans la production agroalimentaire et d'autres domaines» ;
Le président de la CACI préconise «un partenariat commun fondé sur une étroite collaboration de type business to business entre les entrepreneurs algériens et les investisseurs iraniens».
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