"Nous voulons moderniser notre économie

Le président du Forum des chefs d'entreprise, Ali Haddad, a revendiqué une plus grande liberté d'entreprendre et une flexibilité d'investissements de la part des pouvoirs publics hier lors d'une conférence de presse.Le président du Forum des chefs d'entreprise, Ali Haddad, a revendiqué une plus grande liberté d'entreprendre et une flexibilité d'investissements de la part des pouvoirs publics hier lors d'une conférence de presse."Le Maroc a investi l'Afrique par le biais des secteurs de l'aérien, de la téléphonie mobile et les banques. Pourquoi aller jusqu'à Casablanca ou transiter par Paris pour aller au Sénégal '" a-t-il dit Tout en se défendant contre ceux qui le dénigrent et le discréditent Ali Haddad a indiqué que son entreprise à toujours respecté les procédures concernant l'octroi des lignes de crédits bancaires en citant notamment l'exemple de la BNA qui a totalement démenti lui avoir accordé un énorme prêt."Nous avons demandé 5 milliards DA répartis en 3 milliards en équipements et 2 milliards en cautionnement en termes de soumissions. Nous avons besoin d'un véritable plan de développement et non seulement compter sur la LF ou la LFC" a-t-il souligné. "Nous voulons accentuer nos projets d'investissement et renforcer notre partenariat avec les entreprises étrangères en ce sens que nos négociations et nos entretiens avec les firmes internationales ne relèvent pas de la diplomatie parallèle mais simplement de l'efficacité d'entreprendre.Un investisseur allemand nous a proposé un partenariat de l'ordre de 10 milliards dollars de crédits si on en a besoin, et on a aussi levé un emprunt obligataire de 300 milliards DA" à t-il précisé.Il ajoute "qu'on ne peut pas seulement compter sur la rente pétrolière mais diversifier l'économie nationale en prenant des initiatives et en revenant à la norme universelle où l'entreprise crée des richesses et des emplois"notamment les PME qui ont fait la croissance et réalisé le développement économique des pays avancés comme c'est le cas aux Etats-Unis d'Amérique et l'Italie.Le président du FCE n'a pas manqué de "stigmatiser ceux qui veulent porter atteinte à sa personnalité et à l'image de marque de son entreprise en expliquant que le secteur privé représente plus de 95 % des emplois en Algérie tandis que l'ETPB fait travailler 15.000 personnes tout en portant le chiffre à 25.000 employés d'ici à la fin de l'année."Il cite notamment l'exemple de l'unité de Bethioua où la fabrication de charpentes métalliques est financée à 95 % par l'entreprise soit 42 milliards DA et 420 millions de dollars pour deux entités de l'entreprise. Ali Haddad rejette catégoriquement l'idée de la discrimination entre le secteur public et le secteur privé qui sont complémentaires pour pouvoir être efficaces et producteurs de richesses et de biens."Nous intervenons même dans le sport où nous assurons le processus de financement par le biais de la professionnalisation du football", allusion faite à l'USM Alger en dépit de la double défaite en finale de la Champions League d'Afrique face au TP Mazembe qui vient d'engager Hubert Velud (ex-coach des Rouge et Noir) comme entraîneur."Le Maroc a investi l'Afrique par le biais des secteurs de l'aérien, de la téléphonie mobile et les banques. Pourquoi aller jusqu'à Casablanca ou transiter par Paris pour aller au Sénégal '" a-t-il dit Tout en se défendant contre ceux qui le dénigrent et le discréditent Ali Haddad a indiqué que son entreprise à toujours respecté les procédures concernant l'octroi des lignes de crédits bancaires en citant notamment l'exemple de la BNA qui a totalement démenti lui avoir accordé un énorme prêt."Nous avons demandé 5 milliards DA répartis en 3 milliards en équipements et 2 milliards en cautionnement en termes de soumissions. Nous avons besoin d'un véritable plan de développement et non seulement compter sur la LF ou la LFC" a-t-il souligné. "Nous voulons accentuer nos projets d'investissement et renforcer notre partenariat avec les entreprises étrangères en ce sens que nos négociations et nos entretiens avec les firmes internationales ne relèvent pas de la diplomatie parallèle mais simplement de l'efficacité d'entreprendre.Un investisseur allemand nous a proposé un partenariat de l'ordre de 10 milliards dollars de crédits si on en a besoin, et on a aussi levé un emprunt obligataire de 300 milliards DA" à t-il précisé.Il ajoute "qu'on ne peut pas seulement compter sur la rente pétrolière mais diversifier l'économie nationale en prenant des initiatives et en revenant à la norme universelle où l'entreprise crée des richesses et des emplois"notamment les PME qui ont fait la croissance et réalisé le développement économique des pays avancés comme c'est le cas aux Etats-Unis d'Amérique et l'Italie.Le président du FCE n'a pas manqué de "stigmatiser ceux qui veulent porter atteinte à sa personnalité et à l'image de marque de son entreprise en expliquant que le secteur privé représente plus de 95 % des emplois en Algérie tandis que l'ETPB fait travailler 15.000 personnes tout en portant le chiffre à 25.000 employés d'ici à la fin de l'année."Il cite notamment l'exemple de l'unité de Bethioua où la fabrication de charpentes métalliques est financée à 95 % par l'entreprise soit 42 milliards DA et 420 millions de dollars pour deux entités de l'entreprise. Ali Haddad rejette catégoriquement l'idée de la discrimination entre le secteur public et le secteur privé qui sont complémentaires pour pouvoir être efficaces et producteurs de richesses et de biens."Nous intervenons même dans le sport où nous assurons le processus de financement par le biais de la professionnalisation du football", allusion faite à l'USM Alger en dépit de la double défaite en finale de la Champions League d'Afrique face au TP Mazembe qui vient d'engager Hubert Velud (ex-coach des Rouge et Noir) comme entraîneur.