Algérie

"Nous sommes pour un gouvernement d'union nationale"



Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) a de l'ambition. Il voit grand et ne manque pas de le clamer.Le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) a de l'ambition. Il voit grand et ne manque pas de le clamer.
En effet, Abderazak Makri se verrait bien dans la peau d'un chef de gouvernement. A la condition, bien évidemment, que son parti remporte les prochaines élections législatives anticipées prévues le 12 jui prochain. "Si on remporte la majorité des sièges à l'Assemblée, comme l'indique la Constitution, c'est bien notre programme qui sera appliqué et nous gérerons le gouvernement" a indiqué le chef de file du MSP. Makri, qui s'exprimait hier lors du forum de Beur TV et du site d'information El Djazair El Aan (l'Algérie maintenant), dira en outre que "tout parti participe aux élections pour gagner et c'est notr cas". Il croit qu'en "cinq années de gouvernance son parti sera en mesure de poser les jalons d'une Algérie tournée vers la prospérité, alors qu'en 20 ans il a promis que le pays fera partie des 20 premières économies dans le monde". Mais le président du MSP, qui ambitionne donc d'être le prochain chef du gouvernement, n'a pas l'intention de gouverner seul.
"Nous sommes pour un gouvernement d'union nationale", a-t-il martelé en prônant, pour ce faire, l'ouverture d'un dialogue avec toutes les forces politiques du pays en vue d'aboutir à un contrat national. "Nous avons de bonnes relations avec l'ensemble des forces politiques, y compris les partis qui ont boycotté le prochain scrutin". Il a cité le FFS en précisant que cela se fera, toutefois, avec "ceux qui croient en les valeurs de la proclamation du 1er novembre, de l'unité nationale et de la stabilité du pays". Toutefois Makri n'a pas écarté l'éventualité de participer à un gouvernement issu de la majorité présidentielle. "Nous allons dialoguer avec le Président en sa qualité de Président et l'époque du mépris de l'APN comme du temps de Bouteflika doit cesser", dira-t-il tout en critiquant ceux qui clament d'ores et déjà qu'ils sont avec le programme du président. "Le Président n'a pas de parti et il est alors difficile de faire des prévisions sur ce que sera la situation post-électorale". Makri, qui a clairement indiqué avoir des "préjugés plutôt favorables sur les réalisations du Président Tebboune", a, dans la foulée, chargé certains partis qui veulent coûte que coûte "coller" au Président. "Ces parasites et ces opportunistes doivent disparaître" a-t-il martelé.
Plaidoyer pour une trêve politique
Mais au vu de la crise actuelle le président du MSP a plaidé pour "un apaisement politique", une sorte de trêve indispensable, selon lui, pour amorcer une nouvelle ère au bénéfice exclusif du pays. "Nous avons besoin de cinq années pour de trêve politique" a soulignéMakri avec, comme premières mesures, la libération des détenus et la consécration de la liberté de la presse. Sur le déroulement de la campagne électorale Makri a fait montre de son satisfecit. "La campagne électorale se déroule dans de bonnes conditions" a-til souligné en ajoutant que "nous vivons un climat positif et nous sommes optimistes". Selon ses dires, "les Algériens, comme l'attestent les meetings, ont accueilli favorablement les candidats du MSP et ces derniers ont fait honneur au parti".
Revenant sur les exclusions de certains cadres des listes, Makri a estime que ces derniers ont été "victimes d'une injustice. Mais qu'à cela ne tienne", Makri a indiqué que sa "tournée électorale a été clôturée dans le sud, le sud-est et l'est du pays", précisant qu'il va maintenant "s'envoler pour l'ouest du pays avant de terminer la campagne au centre du pays". Il pense clôturer en apothéose avec un grand meeting à la salle OMS du complexe Mohamed-Boudiaf d'Alger. Il s'est dit "optimiste quant aux chances de son parti" en indiquant que le "Président Tebboune s'est engagé pour que les élections soient transparentes et démocratiques". Par conséquent il croit que le "taux de participation sera important".
En effet, Abderazak Makri se verrait bien dans la peau d'un chef de gouvernement. A la condition, bien évidemment, que son parti remporte les prochaines élections législatives anticipées prévues le 12 jui prochain. "Si on remporte la majorité des sièges à l'Assemblée, comme l'indique la Constitution, c'est bien notre programme qui sera appliqué et nous gérerons le gouvernement" a indiqué le chef de file du MSP. Makri, qui s'exprimait hier lors du forum de Beur TV et du site d'information El Djazair El Aan (l'Algérie maintenant), dira en outre que "tout parti participe aux élections pour gagner et c'est notr cas". Il croit qu'en "cinq années de gouvernance son parti sera en mesure de poser les jalons d'une Algérie tournée vers la prospérité, alors qu'en 20 ans il a promis que le pays fera partie des 20 premières économies dans le monde". Mais le président du MSP, qui ambitionne donc d'être le prochain chef du gouvernement, n'a pas l'intention de gouverner seul.
"Nous sommes pour un gouvernement d'union nationale", a-t-il martelé en prônant, pour ce faire, l'ouverture d'un dialogue avec toutes les forces politiques du pays en vue d'aboutir à un contrat national. "Nous avons de bonnes relations avec l'ensemble des forces politiques, y compris les partis qui ont boycotté le prochain scrutin". Il a cité le FFS en précisant que cela se fera, toutefois, avec "ceux qui croient en les valeurs de la proclamation du 1er novembre, de l'unité nationale et de la stabilité du pays". Toutefois Makri n'a pas écarté l'éventualité de participer à un gouvernement issu de la majorité présidentielle. "Nous allons dialoguer avec le Président en sa qualité de Président et l'époque du mépris de l'APN comme du temps de Bouteflika doit cesser", dira-t-il tout en critiquant ceux qui clament d'ores et déjà qu'ils sont avec le programme du président. "Le Président n'a pas de parti et il est alors difficile de faire des prévisions sur ce que sera la situation post-électorale". Makri, qui a clairement indiqué avoir des "préjugés plutôt favorables sur les réalisations du Président Tebboune", a, dans la foulée, chargé certains partis qui veulent coûte que coûte "coller" au Président. "Ces parasites et ces opportunistes doivent disparaître" a-t-il martelé.
Plaidoyer pour une trêve politique
Mais au vu de la crise actuelle le président du MSP a plaidé pour "un apaisement politique", une sorte de trêve indispensable, selon lui, pour amorcer une nouvelle ère au bénéfice exclusif du pays. "Nous avons besoin de cinq années pour de trêve politique" a soulignéMakri avec, comme premières mesures, la libération des détenus et la consécration de la liberté de la presse. Sur le déroulement de la campagne électorale Makri a fait montre de son satisfecit. "La campagne électorale se déroule dans de bonnes conditions" a-til souligné en ajoutant que "nous vivons un climat positif et nous sommes optimistes". Selon ses dires, "les Algériens, comme l'attestent les meetings, ont accueilli favorablement les candidats du MSP et ces derniers ont fait honneur au parti".
Revenant sur les exclusions de certains cadres des listes, Makri a estime que ces derniers ont été "victimes d'une injustice. Mais qu'à cela ne tienne", Makri a indiqué que sa "tournée électorale a été clôturée dans le sud, le sud-est et l'est du pays", précisant qu'il va maintenant "s'envoler pour l'ouest du pays avant de terminer la campagne au centre du pays". Il pense clôturer en apothéose avec un grand meeting à la salle OMS du complexe Mohamed-Boudiaf d'Alger. Il s'est dit "optimiste quant aux chances de son parti" en indiquant que le "Président Tebboune s'est engagé pour que les élections soient transparentes et démocratiques". Par conséquent il croit que le "taux de participation sera important".


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