«Nous aspirons à inculquer à la jeunesse du parti une formation politique correcte»

Le secrétaire général de du parti du front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem a exprimé lors de l'ouverture d'une conférence régionale de la jeunesse et des étudiants du parti, organisée au siège central du FLN, le souci du parti qu'il dirige, l'assurance à sa jeunesse une formation politique correcte à même de renforcer ses potentialités scientifiques et intellectuelles en prévision des responsabilités qu'elle aura à assumer à l'avenir, signalant que «ces ateliers de formation initiés par le parti au profit des jeunes et des étudiants du parti leur permettra d'assumer à l'avenir les missions qu'ils auront dans la gestion des affaires du pays».
Le premier responsable du FLN qui s'est dit convaincu du «principe d'alternance du pouvoir» a mis en garde les jeunes contre la précipitation et que leur avenir ne sera construit que grâce à leur sacrifice et leur lutte, précisant que concernant la crise au sein du parti «qu'il s'agissait en fait de simples contestations manifestées par quelques insatisfaits des positions qu'ils occupent au sein du parti». M. Belkhadem s'est adressé à qu'il reproche «de freiner la marche du parti», disant «qu'ils n'ont pas pu influer sur le parti, ni par le passé et encore moins à l'avenir», estimant que la victoire du FLN lors des dernières législatives en est la meilleurs preuve. M. Abdelkader Zehali, membre du bureau politique chargé du secrétariat de la jeunesse et des étudiants du parti a signalé pour sa part que «l'importance du rôle de la jeunesse dans la préservation du pays et de ses constantes». Cette rencontre est la quatrième du genre organisée par le FLN après celles tenues à Aïn Defla, Boumerdès et Koléa (Tipasa), cette session a été marquée par la présentation de communications animées par des professeurs militant au sein du parti sur les concepts fondamentaux des jeunes militants du parti, la présentation de son règlement intérieur, de sa référence historique et son parcours politique, avec la présence de quelques 847 jeunes venus de différentes mouhafadate d'Alger, Tipasa, Boumerdès et Médéa.