«Nous sommes prêts à nous lancer dans la transplantation à donneur cadavérique mais à condition que tous les moyens soient mis en place», estime-t-il. Il fait référence à l'agence de biomédecine qui permettra d'établir des listes de malades qui nécessitent réellement la greffe, d'avoir les listes des donneurs potentiels, de faire la promotion du don et du prélèvement d'organes et de mettre en place un système d'organisation pour le prélèvement sur donneur en état de mort encéphalique.
Son objectif est l'encadrement des services qui s'occupent de la greffe et la prise en charge de tous les aspects liés à la législation et l'éthique en matière de transplantation d'organes, a-t-il expliqué. «Notre équipe a progressé et aujourd'hui elle est prête à faire la transplantation hépatique à donneur cadavérique et on peut y arriver. L'intervention est moins stressante et il y a moins de risques», a-t-il souligné avant de préciser que «la demande va encore augmenter, il faut que des équipes se dirigent vers cette technique et arriver à créer de nouveaux centres au niveau des différentes régions du pays». Il y a aussi l'urgence de dégager un budget spécial pour ce programme, à l'instar des autres programmes de greffe d'organes, notamment le rein et la cornée.                Â
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Posté Le : 02/11/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : Djamila Kourta
Source : www.elwatan.com