Depuis pratiquement l'entame de la phase retour, la sphère de l'arbitrage baigne dans un semblant de cafouillage et est «emmenée» à contre courant dans une spirale d'engrenages.C'est à se poser des questions sur la réelle capacité de nos arbitres à faire face, à résister à la forte pression en assumant convenablement et consciencieusement leur (délicate et ingrate) mission de manière à stopper cette vertigineuse récession ' Ont-ils créé auparavant des précédents en cédant et en accordant à certains des concessions ' Sont-ils otages de certaines compromissions ' Sentent-ils envers quiconque de faiblesse jusqu'à lui prouver leur totale soumission ' Sont-ils entre les mains de commissions en totale démission ' Au même titre d'ailleurs que certaines structures qui gravitent et gouvernent notre quotidien footballistique qui sont dans le même constat de scandales cycliques. Jugez-en ! Quand un arbitre ayant le titre d'«élite» ayant suffisamment d'expérience et vous produit constamment un arbitrage de débutant jalonné de carences, cela veut dire qu'il manque de compétence et qu'il se retrouve propulsé à ce niveau suite à une forte influence. Car quand on n'arrive pas à maîtriser un «enfant» en classe sage comme une image, comment voulez-vous le diriger sur un terrain entrain de faire ravage même sous l'?il vigilant d'une équipe d'arbitrage '
En outre, une commission en charge d'une épreuve aussi populaire alors qu'elle est sous un bon et spacieux toit se «perd» plusieurs fois dans la domiciliation d'un match alors que le temps qui lui a été imparti pour «juger» et «statuer» dépasse un mois, laissant tout le monde en attente et dans l'émoi. Pourquoi alors se permet-on, en s'accordant le droit, d'accabler les arbitres qui sont tenus de prononcer leur verdict séance tenante et dans la centième de secondes qui suit l'action parfois dans un endroit très étroit ' En outre et au même moment, le traitement d'une affaire ayant trait aux «Règlements généraux» qui n'a pas encore livré tous ses secrets poussant même au courroux, c'est à croire que ceux qui sont derrière leurs bureaux reçoivent des «injonctions» voire même des directives extramuros ' Pourtant, l'histoire a prouvé que c'est ceux-là même et après avoir exécuté leurs sournois numéros qui seront leurs véritables bourreaux !
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 04/03/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Salim Oussaci
Source : www.elwatan.com