Algérie

«Nomadland» rafle les principaux prix de la 93e édition


Le grand favori a bien été au rendez-vous des prix aux Oscars. Nomadland a remporté dimanche la récompense suprême du meilleur long-métrage tandis que sa réalisatrice, Chloé Zhao, est devenue la première cinéaste non blanche à remporter le Prix du meilleur réalisateur. Avant Chloé Zhao, seule une autre femme avait reçu ce prix convoité, Kathryn Bigelow en 2010 pour Démineurs. «Quel voyage incroyable et unique nous avons fait ensemble», a lancé la réalisatrice née en Chine, dont les acteurs dans le film sont pour beaucoup des amateurs jouant leur propre rôle. Frances McDormand, l'une des rares comédiennes professionnelles de cet hybride de road movie, de drame social et de documentaire, rafle quant à elle l'Oscar de la meilleure actrice. Chez les hommes, Anthony Hopkins a créé la surprise en raflant la statuette du meilleur acteur pour son rôle de vieillard sombrant dans la démence dans The Father, film de l'auteur français Florian Zeller récompensé par l'Oscar du meilleur scénario adapté. Hopkins, 83 ans, n'était pas présent pour recevoir son prix. Il faisait figure d'outsider assez improbable face à Chadwick Boseman, mort l'été dernier et qui semblait parti pour recevoir un Oscar posthume.La cérémonie la plus suivie de Hollywood se tenait exceptionnLe grand favori a bien été au rendez-vous des prix aux Oscars. Nomadland a remporté dimanche la récompense suprême du meilleur long-métrage tandis que sa réalisatrice, Chloé Zhao, est devenue la première cinéaste non blanche à remporter le Prix du meilleur réalisateur. Avant Chloé Zhao, seule une autre femme avait reçu ce prix convoité, Kathryn Bigelow en 2010 pour Démineurs. «Quel voyage incroyable et unique nous avons fait ensemble», a lancé la réalisatrice née en Chine, dont les acteurs dans le film sont pour beaucoup des amateurs jouant leur propre rôle. Frances McDormand, l'une des rares comédiennes professionnelles de cet hybride de road movie, de drame social et de documentaire, rafle quant à elle l'Oscar de la meilleure actrice. Chez les hommes, Anthony Hopkins a créé la surprise en raflant la statuette du meilleur acteur pour son rôle de vieillard sombrant dans la démence dans The Father, film de l'auteur français Florian Zeller récompensé par l'Oscar du meilleur scénario adapté. Hopkins, 83 ans, n'était pas présent pour recevoir son prix. Il faisait figure d'outsider assez improbable face à Chadwick Boseman, mort l'été dernier et qui semblait parti pour recevoir un Oscar posthume.
La cérémonie la plus suivie de Hollywood se tenait exceptionnellement cette année dans une gare historique du centre de Los Angeles accueillant les stars en lice. C'est là que le Danois Thomas Vinterberg, réalisateur de Drunk, a reçu l'Oscar du meilleur film étranger pour sa comédie douce-amère mettant en scène quatre amis menant une expérience de soûlographie quasi scientifique. Florian Zeller, quant à lui, a brandi sa statuette dorée à Paris, où les Oscars avaient prévus un site dédié et une liaison satellite avec Los Angeles. Un autre Français, Nicolas Becker, a été reconnu par l'Académie avec l'Oscar du meilleur son sur Sound of Metal, qui dépeint un batteur de heavy metal perdant l'audition. La France a reçu un troisième Oscar avec un Prix pour le documentaire court Colette, consacré à Colette Marin-Catherine, une femme de 90 ans qui fut membre de la Résistance sous l'Occupation nazie. Crise sanitaire oblige, même des magnats de Hollywood, comme Bob Iger, le patron de Disney, n'ont pas reçu de carton d'invitation pour l'événement. Il n'a donc pas pu assister en chair et en os à la victoire de Soul, une fable onirique des studios Pixar, dans la catégorie du meilleur film d'animation. Après des années de controverse sur la composition de l'Académie des Oscars, jugée trop blanche et trop masculine, deux acteurs de couleur ont été récompensés: le Britannique Daniel Kaluuya, 32 ans, pour Judas and the Black Messiah, et la Sud-Coréenne Youn Yuh-jung pour Minari. En outre, le premier Oscar de la soirée, celui du scénario original, est allé à Emerald Fennell pour son film Promising Young Woman, thriller féministe inspiré par le mouvement #MeToo. Enfin, même si elle repart avec sept récompenses au total, la plateforme Netflix a en revanche subi une nouvelle déception dans les catégories majeures, malgré plusieurs films qui abordaient des thèmes pourtant d'une actualité brûlante.ellement cette année dans une gare historique du centre de Los Angeles accueillant les stars en lice. C'est là que le Danois Thomas Vinterberg, réalisateur de Drunk, a reçu l'Oscar du meilleur film étranger pour sa comédie douce-amère mettant en scène quatre amis menant une expérience de soûlographie quasi scientifique. Florian Zeller, quant à lui, a brandi sa statuette dorée à Paris, où les Oscars avaient prévus un site dédié et une liaison satellite avec Los Angeles. Un autre Français, Nicolas Becker, a été reconnu par l'Académie avec l'Oscar du meilleur son sur Sound of Metal, qui dépeint un batteur de heavy metal perdant l'audition. La France a reçu un troisième Oscar avec un Prix pour le documentaire court Colette, consacré à Colette Marin-Catherine, une femme de 90 ans qui fut membre de la Résistance sous l'Occupation nazie. Crise sanitaire oblige, même des magnats de Hollywood, comme Bob Iger, le patron de Disney, n'ont pas reçu de carton d'invitation pour l'événement. Il n'a donc pas pu assister en chair et en os à la victoire de Soul, une fable onirique des studios Pixar, dans la catégorie du meilleur film d'animation. Après des années de controverse sur la composition de l'Académie des Oscars, jugée trop blanche et trop masculine, deux acteurs de couleur ont été récompensés: le Britannique Daniel Kaluuya, 32 ans, pour Judas and the Black Messiah, et la Sud-Coréenne Youn Yuh-jung pour Minari. En outre, le premier Oscar de la soirée, celui du scénario original, est allé à Emerald Fennell pour son film Promising Young Woman, thriller féministe inspiré par le mouvement #MeToo. Enfin, même si elle repart avec sept récompenses au total, la plateforme Netflix a en revanche subi une nouvelle déception dans les catégories majeures, malgré plusieurs films qui abordaient des thèmes pourtant d'une actualité brûlante. algériens des lois sociales. Ali Cherrak évoque aussi la naissance en 1926 de l'Etoile Nord-Africaine (ENA), sous l'égide d'une équipe dynamique, Messali Hadj, Imache Amar et Radjef Belkacem sous la supervision de l'Emir Khaled. L'Etoile Nord-Africaine aura exprimé pour la première fois la revendication de l'indépendance du pays au Congrès anticolonialiste de Bruxelles en 1927.Il revient également sur le premier Congrès musulman réunissant en 1936 des élus, des notables, l'association des Oulémas, le Parti communistes algérien et les partis réformistes. Dans un chapitre dédié à la période avant et pendant la Seconde Guerre mondiale, l'auteur revient sur le déroulement du 2e Congrès musulman sur le rôle de l'association des Oulémas sur l'échiquier politique, la naissance du Parti du peuple algérien (PPA) et les massacres du 8 mai 1945. Après ces massacres, le Mouvement national algérien va connaître la scission PPA/MTLD, l'avènement de l'Organisation secrète (OS) et du Comité révolutionnaire d'unité et d'action (Crua), et le déclenchement de la Guerre de Libération nationale, autant d'événements analysés par l'auteur qui va également s'intéresser au parcours du Mouvement national algérien (MNA) et au ralliements des organisations politiques algériennes au FLN.
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