Algérie

Ni hiba, ni classe ! Kach Bakhta !


Mémoire fraîche ! Pourquoi l'Algérie n'a toujours pas récupéré les « restes » de Chakib Khelil et de Abdeslam Bouchouareb ' Parce que l'un a la...... tête ailleurs, et l'autre n'a plus toute sa tête !
Pas question de jouer aux vierges effarouchées. La mafia, elle a existé partout. Elle existe encore partout. Nous ne l'avons pas créée. C'est juste que je suis vieux jeu. Et de la mafia, des bandits, des trafiquants, des clans, des familles de la truande, je garde une image un peu surannée, certes, mais c'est celle qui est inscrite dans ma caboche. Lorsqu'ils se font prendre, les chefs mafieux, et même leurs lieutenants restent « dignes ». Une sorte de code d'honneur du Capo ! J'ai encore revu ces dernières heures des images des procès d'Al-Capone, et même plus près de nous de Bernardo Provenzano ou de Totò Riina, et, faut bien l'admettre, ils ont la classe. Dans la mouise la plus totale, pris dans les filets de la brigade financière, Al-Capone sourit, rit, plaisante et se fout même royalement de la tronche des magistrats. Non ! Qu'on ne s'y trompe pas ! Je ne fais pas ici l'apologie de la mafia. Je dis juste que même chez les bandits, les criminels, il y a ce zeste de « HIBA », de classieux qui reste. Comme une dernière nique avant le clap de fin. Alors, quand je vois et entends les nôtres de bandits de grands chemins défiler en chialant devant Monsieur ou Madame le juge, faire la balance en rejetant la faute sur les demi-sel, les complices, les parents et les copains d'avant, je n'ai qu'une seule chose à dire, un truc à demander à tous, à moi y compris : arrêtons une bonne fois pour toutes d'appeler « mafia » notre Içaba. Ne rajoutons pas de l'usurpation de réputation à leurs si nombreux crimes et délits. Ils n'ont rien de mafieux ! Et surtout pas la classe ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
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