Ne pas se focaliser sur le Mali et oublier le Rwanda»

L'international algérien, Ryad Boudebouz, a appelé hier à Alger à "penser d'abord" au match du 2 juin face au Rwanda, avant de se focaliser sur la rencontre suivante contre le Mali, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2014 de football. "Ca serait une grave erreur de penser au Mali et oublier le Rwanda, notre premier adversaire (le 2 juin à Blida) dans les éliminatoires du Mondial. C'est un match qui a autant d'importance que le suivant", a déclaré le milieu de terrain du FC Sochaux (Ligue 1/ France), à la presse à son arrivée samedi à Alger. "Toutes les rencontres sont difficiles, y compris celle contre le Rwanda. Nous sommes donc censés les négocier match par match afin d'atteindre nos objectifs. Il ne devrait pas y avoir place à l'excès de confiance", a t-il ajouté. Le joueur sochalien, ainsi que son coéquipier Foued Kadir, du FC Valenciennes, sont les derniers éléments à avoir rejoint les rangs des Verts à Alger pour prendre part aux trois matches officiels de juin contre le Rwanda et le Mali (respectivement le 2 et le 9) comptant pour les éliminatoires du Mondial-2014, et la Gambie (le 15) en retour du deuxième tour des qualifications de la CAN-2013 (victoire à l'aller à Banjul 2-1). Boudebouz (22 ans) qui n'est pas concerné par le match amical contre le Niger samedi soir (20h30) à Blida, s'est dit également "prêt" à assumer ses responsabilités lors des trois rendez-vous officiels en question. Le fait d'avoir contribué grandement au maintien de son équipe dans l'élite française, lui permet aussi de rejoindre ses coéquipiers en équipe nationale, avec "un bon moral", selon ses dires. "Certes, je viens de terminer une saison éprouvante, vu que mon équipe a lutté pour son maintien jusqu'à la dernière journée du championnat, mais l'issue heureuse de cette bataille m'a fait oublier toute la fatigue", a t-il poursuivi.
«Priorité à un transfert en France»
Désigné comme meilleur élément de son équipe lors de la défunte saison, Boudebouz ne manque pas de sollicitations de la part d'autres formations en vue d'un transfert lors de l'exercice à venir. Mais ces sollicitations ne lui font pas oublier, pour autant, le challenge qui l'attend avec les Verts. "Certes, beaucoup de clubs me veulent, en France notamment, mais toute ma concentration maintenant va aux rencontres qui m'attendent avec la sélection", a t-il assuré. Questionné sur sa prochaine destination, après avoir annoncé, dimanche passé, son départ de Sochaux, Boudebouz s'est dit encore "indécis". "Certes, mon agent est en discussions avec quelques clubs, notamment en France, mais il n' y a toujours rien de concret", a t-il précisé, avant de révéler que sa "priorité" va vers le championnat de France où il souhaite y évoluer pour une autre saison, d'autant plus que des gros bras de la Ligue ''une'', à l'image de Lyon et Lille, le convoitent, selon la presse française. "Il y a aussi Liverpool (Angleterre) qui a engagé des discussions avec mon agent, mais au risque de me répéter, le tout est au stade des discussions, pas plus", a t-il conclu.
L'international algérien, Ryad Boudebouz, a appelé hier à Alger à "penser d'abord" au match du 2 juin face au Rwanda, avant de se focaliser sur la rencontre suivante contre le Mali, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2014 de football. "Ca serait une grave erreur de penser au Mali et oublier le Rwanda, notre premier adversaire (le 2 juin à Blida) dans les éliminatoires du Mondial. C'est un match qui a autant d'importance que le suivant", a déclaré le milieu de terrain du FC Sochaux (Ligue 1/ France), à la presse à son arrivée samedi à Alger. "Toutes les rencontres sont difficiles, y compris celle contre le Rwanda. Nous sommes donc censés les négocier match par match afin d'atteindre nos objectifs. Il ne devrait pas y avoir place à l'excès de confiance", a t-il ajouté. Le joueur sochalien, ainsi que son coéquipier Foued Kadir, du FC Valenciennes, sont les derniers éléments à avoir rejoint les rangs des Verts à Alger pour prendre part aux trois matches officiels de juin contre le Rwanda et le Mali (respectivement le 2 et le 9) comptant pour les éliminatoires du Mondial-2014, et la Gambie (le 15) en retour du deuxième tour des qualifications de la CAN-2013 (victoire à l'aller à Banjul 2-1). Boudebouz (22 ans) qui n'est pas concerné par le match amical contre le Niger samedi soir (20h30) à Blida, s'est dit également "prêt" à assumer ses responsabilités lors des trois rendez-vous officiels en question. Le fait d'avoir contribué grandement au maintien de son équipe dans l'élite française, lui permet aussi de rejoindre ses coéquipiers en équipe nationale, avec "un bon moral", selon ses dires. "Certes, je viens de terminer une saison éprouvante, vu que mon équipe a lutté pour son maintien jusqu'à la dernière journée du championnat, mais l'issue heureuse de cette bataille m'a fait oublier toute la fatigue", a t-il poursuivi.
«Priorité à un transfert en France»
Désigné comme meilleur élément de son équipe lors de la défunte saison, Boudebouz ne manque pas de sollicitations de la part d'autres formations en vue d'un transfert lors de l'exercice à venir. Mais ces sollicitations ne lui font pas oublier, pour autant, le challenge qui l'attend avec les Verts. "Certes, beaucoup de clubs me veulent, en France notamment, mais toute ma concentration maintenant va aux rencontres qui m'attendent avec la sélection", a t-il assuré. Questionné sur sa prochaine destination, après avoir annoncé, dimanche passé, son départ de Sochaux, Boudebouz s'est dit encore "indécis". "Certes, mon agent est en discussions avec quelques clubs, notamment en France, mais il n' y a toujours rien de concret", a t-il précisé, avant de révéler que sa "priorité" va vers le championnat de France où il souhaite y évoluer pour une autre saison, d'autant plus que des gros bras de la Ligue ''une'', à l'image de Lyon et Lille, le convoitent, selon la presse française. "Il y a aussi Liverpool (Angleterre) qui a engagé des discussions avec mon agent, mais au risque de me répéter, le tout est au stade des discussions, pas plus", a t-il conclu.