Sur sa lancée, le MCO, devant ses fansvenus fort nombreux malgré la présence des caméras de la télévision, a renouéavec la victoire face à une coriace formation du NAHD qui confirme sa marge deprogression bien évidente depuis sa prise en main par Nadjib Medjadj. Sansattendre le rituel round d'observation, mouloudéens et nahdistes se mettentdans le match sous les yeux d'un referee qui usa sans discontinuer de coups desifflet intempestifs. Dès la 13ème minute, le Camerounais Binya, la mort dansl'âme, quittera ses coéquipiers. Cette sortie dérégla quelque peu la machineoranaise qui ne se mit en évidence qu'en de rares occasions, tout comme lescoéquipiers de Ousnadji qui ne réagirent par Chaïb qu'à la 24ème minute,répliquant ainsi aux actions de Fahem (18ème min.) et Daoud S. (22ème min.).C'était bien peu pour faire pencher la balance d'un côté ou de l'autre et cejusqu'au coup de sifflet annonçant la pause. A la reprise, suite au réglage opéré parle Portugais Gomes et aidés par le repli des visiteurs, les gars d'El-Hamris'enhardirent davantage, menant coup sur coup de nombreuses offensives quibutèrent toutes sur le mur défensif du Nasria. Il faudra attendre la 74èmeminute et un corner renvoyé par Meddahi sur Fotso pour voir Daoud S., à la limitedu hors jeu, surprendre Djabaret. Malgré les récriminations des nahdistes,Khelifi, près de l'action, valida le but. Voulant protester contre cettedécision, un supporter du NAHD enjamba le grillage, alors que le jeu avaitrepris, pour pénétrer sur le terrain, provoquant l'arrêt de la rencontre. Lejeu reprit avec de chaudes alertes dans le camp oranais où Mezaïr et sesdéfenseurs eurent fort à faire, et ce, jusqu'au coup de sifflet final quilibéra les Hamraouas et leurs fans qui eurent vraiment chaud.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 14/04/2007
Posté par : sofiane
Ecrit par : Boumaza Habib
Source : www.lequotidien-oran.com