Prix du Président de la République algérienne pour les meilleures oeuvres de poésies, prix de Dubaï pour la culture ou le prix Ali Maâchi destiné aux jeunes créateurs. Un réel mérite pour la poétesse et chercheuse Nassima Bouslah qui s'est emparée d'une autre distinction qui est celle du prix international de la littérature pour enfants, attribué au Qatar.
La constantinoise a été récompensée dans la catégorie des études littéraire pour ses fameux travaux sur « La mort de la grand-mère, une problématique de la revivification du patrimoine ».
La palme lui sera remise Samedi prochain au Théâtre national qatari, au même temps qu'aux vainqueurs de prix dédiés aux nouvelles ou au théâtre, estimés comme les plus fondamentaux au Qatar, dans le domaine de la littérature pour enfants.
La lauréate vivant dans les pays du Golf, est reconnue pour d'autres écrits comme « Le deuil du Tango », « La dialectique de l'amour et de la mort », et « L'oiseau et le collier ».
 
« Le texte littéraire est un secret qui dévore son écrivain pour paraitre ensuite dans toute sa beauté, il ne doit pas forcément obéir aux règles imposées »
- Nassima Bouslah -
 
Posté Le : 10/06/2014
Posté par : litteraturealgerie
Ecrit par : D.Boudia