Algérie

Naïma Salhi crache son venin sur l'Identité nationale



A travers sa sortie dangereuse, elle tente de desceller une de nos constantes nationales.Naima Salhi, présidente d'un microscopiqueparti politique,A travers sa sortie dangereuse, elle tente de desceller une de nos constantes nationales.Naima Salhi, présidente d'un microscopiqueparti politique,
ne digère pas d'avoirété chahutée avant-hier jeudi à Naciria etChabet El Ameur, dans la wilaya de Boumerdès. Faute d'arguments tangibles,elle crache son venin. C'est sa marque de fabrique ! Dans une série de publications sur sa page Facebook, la députée et présidente du Parti de l'équité et de la proclamation (PEP) a laissé éclater sa colère. Et ce n'est qu'un euphémisme, car elle est allée beaucoup loin. Elle a tout simplement franchi le rubican en demandant l'abrogation de l'article IV de la Constitution.
L'article en question déclare la langue berbère, nationale et officielle. "Nous demandons l'abrogation de l'article IV de la Constitution, parce qu'il est anticonstitutionnel. Nous avons reçu (hier jeudi) une autre leçon sur le fait qu'il faut intraitable avec le racisme tribal", a-telletonné. Et de s'enfoncer, "Nous avons pris une décision ferme, selon laquelle il n'existe aucune autre langue en Algérie que l'arabe" Somme toute, en lisant ce post, n'importe quelle personne pourrait l'accuser de vouloi diviser le pays. Insatiable, Naima Salhi ne s'est pas arrêtée là. Par d'autres publications, elle a valsé entre une attaque contre un élu proche du MAK, sans le nommer toutefois, et un étalage de son ignorance en qualifiant les berbères de"minorité des minorités". Aberrant, maisle ridicule ne tue pas.
ne digère pas d'avoirété chahutée avant-hier jeudi à Naciria etChabet El Ameur, dans la wilaya de Boumerdès. Faute d'arguments tangibles,elle crache son venin. C'est sa marque de fabrique ! Dans une série de publications sur sa page Facebook, la députée et présidente du Parti de l'équité et de la proclamation (PEP) a laissé éclater sa colère. Et ce n'est qu'un euphémisme, car elle est allée beaucoup loin. Elle a tout simplement franchi le rubican en demandant l'abrogation de l'article IV de la Constitution.
L'article en question déclare la langue berbère, nationale et officielle. "Nous demandons l'abrogation de l'article IV de la Constitution, parce qu'il est anticonstitutionnel. Nous avons reçu (hier jeudi) une autre leçon sur le fait qu'il faut intraitable avec le racisme tribal", a-telletonné. Et de s'enfoncer, "Nous avons pris une décision ferme, selon laquelle il n'existe aucune autre langue en Algérie que l'arabe" Somme toute, en lisant ce post, n'importe quelle personne pourrait l'accuser de vouloi diviser le pays. Insatiable, Naima Salhi ne s'est pas arrêtée là. Par d'autres publications, elle a valsé entre une attaque contre un élu proche du MAK, sans le nommer toutefois, et un étalage de son ignorance en qualifiant les berbères de"minorité des minorités". Aberrant, maisle ridicule ne tue pas.


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)