Algérie - Autres musées

Musée national Zabana d'Oran



Musée national Zabana d'Oran

Le musée est crée en 1879 par une Société savante dénommée à l’époque, Société de géographie et d’archéologie de la province d’Oran. A cette époque, il n’existait pas de musée à Oran, mais il y avait un patrimoine dispersé à l’ancienne mairie de la Place de la République où il existait une salle appelée « Salle des oiseaux » où on conservait une belle collection d’oiseaux, d’œufs d’autruche, de singes, une hache polie et quelques autres objets de curiosité. Diverses inscriptions romaines étaient exposées aux intempéries dans les allées de la promenade de l’étang (Place Ibn Badis).  L’idée de la création d’un musée dans la ville est venue au commandant Demaeght (archéologue et épigraphiste) qui a lancé un appel aux citoyens afin d’enrichir les collections existantes. Il a été désigné par les membres de la Société pour réunir chez lui les documents précieux. En 1882, il a réuni divers objets qu’il a réparti en trois sections : . Numismatique (13 pièces) . Antiquités romaines et africaines (16 pièces) . Histoire naturelle
D’autres sections s’ajoutèrent plu tard . Il s’agit de . Préhistoire et ethnographie: . Histoire de l’Algérie . Peinture, sculpture, dessins originaux et gravures Un local approprié s’imposait alors. Edifié en 1933, le bâtiment actuel, sis 19 Boulevard Zabana, fut inauguré officiellement le 11 novembre 1935 dans les locaux du Palais des Beaux Arts et sera dénommé « Musée Demaeght ». Ce Palais comprend le musée , la bibliothèque municipale, ainsi que l’Ecole des Beaux Arts. A l’indépendance, le musée fut confié à l’Assemblée Populaire Communale de la Ville d’Oran jusqu’en 1986. Depuis il est sous la tutelle du Ministère de la Culture et a été rebaptisé  « Musée National Ahmed Zabana » en hommage à ce grand Martyr de la révolution.  
SECTION DES BEAUX-ARTS
Une importante collection s’y trouve . Les œuvres du  16 ème siècle des écoles européennes ( Philippe de Champaigne « hollandaise »), des œuvres de peintres tels Carle Van Loo, Etienne Jeaurat… Le 19 ème siècle reflète le romantisme hérité de Delacroix , chez Fromentin (paysage de Laghouat) et Dehodencq (le conteur),  l’orientalisme chez Marilhat (la caravane),  Dinet (hommes en observation), Gustave Guillomet (paysage d’Oran). Des œuvres de diverses tendances modernes tels que celles d’Espagnat (intérieur) et de jean Puy (terrasse à Belle Isle). L’impressionnisme se lit chez Lebourg dans son œuvre intitulé (paysage des environs d’Alger), Maximilien Luce (petit paysage) et (port de Camaret)… Le plaisir raffiné des peintres qui allaient vers un Art complet est représenté par une admirable ( Nature morte) de Brianchon, une composition intitulée (la Marne) de A. Planson, (la plage de Dieppe) de Roland Oudot. Le témoignage des scènes et villes nord africaines est représenté chez Eddy Legrand dans  (Femmes chirats), chez Bouviole dans (paysage de Laghouat) ,  chez Hambourg (Le marché à Fez),  chez oscar Spielmann  (les deux filles marocaines)… L’Art abstrait est représenté par des toiles de Bouqueton (composition surréaliste), et de Chambrin (Jour triste sur un pont imaginaire). La peinture algérienne occupe une place de choix et constitue un ensemble national remarquable témoignant de la vitalité de l’Art algérien depuis le début du siècle à nos jours, elle est représentée par Mammeri Azouaou (La porte à Mogador), Guermaz ( Le paysage urbain ) , Khadda (La terre s’offre aux semailles), Issiakhem (le deuil), Baya (La dresseuse de paons)… La sculpture est représentée par des bronzes de Poinçon (Buste de Madame Poinçon) , de Halbout (tête de mauresque) , de Martinez (les chats), ainsi que le buste , par Rodin, de Victor Hugo. Cette collection est marquée, également, par le magistral plâtre original exécuté en 1915 par Emile Bourdelle (Heracles archer).
SECTION ART MUSULMAN
Les objets appartenant à cette section remontent au 5 ème jusqu’au 12 ème siècle de l’hégire (11 ème – 18 ème siècles).Ce sont des échantillons et moulages d’éléments architecturaux et de motifs décoratifs utilisés dans l’art musulman, choisis parmi les monuments les plus caractéristiques qui montrent l’évolution civilisationnelle des différentes dynasties musulmanes du Maghreb, en particulier celles de l’Algérie et du Maroc, ainsi que de l’Andalousie. A noter des collections de panneaux en plâtre décorés de dessins de formes géométriques, florales et végétales, ornés d’inscriptions coufiques ou cursifs : deux inscriptions arabes monumentales du 18 ème siècle provenant d’Oran. L’une commémore la construction d’un magasin en 1720 par le Bey Mostefa Ben youcef dit    « Bouchelaghem ». L’autre célèbre la fondation de la grande Mosquée en 1796 par Hassan Pacha , Dey d’Alger Les mobiliers décoratifs sont représentés par des carreaux de faïence de l’époque espagnole (carreaux polychromes émaillés en relief « Zelidja » de Malaga)  ainsi que de l’époque turque provenant du Palais du Bey d’Oran construit pendant la période des mérinides par Abou El Hassan El Marini au 14 ème siècle et dont l’extension a été faite par le Bey Mohamed ben Ottman El Kebir à partir de 1792. Ainsi que des poteries en terre cuite tels q’une amphore hispano-mauresque trouvée à Tlemcen et celles qui proviennent de Tagdempt  (Tiaret). Enfin des inscriptions funéraires : une épigraphie commémorant la mort de Cheikh Sidi Mohamed Agha décédé le 26 novembre 1545, Lieutenant de Kheir-eddine Barberousse et défenseur de la ville d’Alger pendant le raid de Charles V, dit Charles quint roi d’Espagne de 1515 à 1556.  
SECTION EL-MOUDJAHID
 Elle a été inaugurée le 19 août 1986 en hommage aux martyrs qui se sont  sacrifiés pour l’Algérie. Cette section regroupe les témoignages de la révolution (1954-1961). S’y trouvent, en particulier, les archives de la wilaya V.  
SECTION NUMISMATIQUE
Les collections de cette section retracent  l’histoire des peuples nord africains à travers le temps. Monnaie antique : C’est la période dominante du point de vue quantitatif. Elle représente des pièces en bronze de Carthage trouvées en Afrique du Nord, des monnaies des villes et des rois de la Numidie et de la Mauritanie (Syphax, Massinissa, Vermica, Bacchus, Bogus, Juba). A noter aussi des monnaies consulaires en argent et en bronze et surtout des monnaies  impériales. Une collection de la période byzantine témoigne d’un passé lointain du pays. Monnaie musulmane : Une riche collection en or et en argent émise par des souverains arabes du Maghreb , raconte l’histoire de ces gouverneurs depuis le XI ème siècle jusqu’au XVIII ème siècle . Il s’agit des monnaies des : . aghlabites, souverains de Kairouan . idrissites, rois marocains du IX ème siècle . fatimides, derniers califes régnant sur le Maghreb à la fin du Xème siècle . almohades et particulièrement des dirhem d’Abdel-Moumen provenant de la région de Tlemcen . nassrides, souverains de grenade et de Malaga . mérinides (Maroc) . beni Ziane (tlemcen) . l’empire ottoman, monnaies frappées à Alger, Tunis et en Egypte . saâdiens et allaouites (Maroc) . Enfin, les monnaies émises par l’Emir Abdelkader et frappées à Tagdempt près de Tiaret. Monnaie d’Europe : Elle est  représentée par la monnaie royale de la France depuis le moyen âge jusqu’à l’époque contemporaine (XIX ème et XX ème siècle), la monnaie espagnole qui reflète l’histoire de son occupation, des pièces modernes des nations européennes ainsi qu’une modeste somme d’argent de l’URSS, de Chine et des Etats-Unis complète le fond monétaire de cette section. Enfin, une belle collection de camées représentées par de moulages de pièces de la galerie vaticane.  
SECTION PREHISTOIRE
Cette section renferme un nombre important d’industries lithiques. La diversité instrumentale,  témoin du passage des hommes primitifs sur le sol algérien , et en particulier à l’ouest, permet de suivre l’évolution civilisationnelle de nos prédécesseurs. Cette civilisation s’étale sur les périodes suivantes : . le paléolithique ou âge de la pierre taillée . l’épipaléolithique ou âge tardif de la pierre taillée . le néolithique ou âge de la pierre polie . la protohistoire Ces périodes, à leur tour, se subdivisent en plusieurs faciès culturels : Le paléolithique comprend le pré-acheuléen et l’acheuléen, le moustérien et l’atérien, l’aurignacien, le solutréen et le magdalénien L’épipaléolithique comprend  l’ibéromaurusien et le capsien Le néolithique comprend le néolithiquue saharien, le néolithique de tradition  capsienne et le néolithiquue méditerranéen La protohistoire comprend les périodes chalcolithique ou le néolithique tardif, l’âge de bronze et l’âge de fer. Tous ces faciès culturels sont représentés au Musée par des sites et objets types  
SECTION DU VIEIL ORAN
Tifignagh, endroit du lion, wahran, Oran, El-Bahia, .. son histoire remonte au delà de la conquête arabe. La section renferme de modestes , et non moins importantes, collections témoignant de son passé glorieux pendant la période espagnole, turque et française. Le développement du vieil Oran se lit à travers des iconographies et son extension est illustrée par des plans et cartes.   SECTION ETHNOGRAPHIE
Les collections ethnographiques sont réparties dans deux salles au premier étage. Une grande salle renferme les vestiges matériels des composantes ethniques du Maghreb notamment de l’Algérie, du Maroc et de la tunisie. Les arts du feu sont représentés par des poteries polychromes émaillées fabriquées dans les ateliers de Nabeul en Tunisie. La céramique populaire est illustrée par des vases peints, amphores modelées, dolium orné de motif excisés (Akoufi) en provenance des ateliers de l’Algérie en particulier de Nedroma, Ammi Moussa, la Kabylie ainsi que le style hispano-mauresque des ateliers de Fès et de Marrakech au Maroc. Une collection qui reflète les conquêtes populaires algériennes durant le 18 ème et le 19 ème siècle composée d’armes blanches : sabres et poignards damasquinés, les armes à feu : fusils et pistolets, décorés de gravures sur les aciers et incrustés d’argent sur les bois des crosses ainsi que des cartouchières et boites à poudre ouvragées. Les productions artisanales sont de haute qualité et d’origine algérienne, elles sont représentées par la dinanderie à décor gravé tels que des mortiers et pilons en cuivre servant à broyer le café et les épices, des lave mains, des aiguières. Le travail du bois est représentée par des coffres berbères et de petit mobilier constitué par une petite bibliothèque, porte manteau sculpté, un grand siège avec des tabourets sculptés, une étagère polychrome en bois peint. Une collection de bijoux de la Kabylie émaillés ornés de corail serti dans l’argent ainsi que des objets de culte : planchettes à coran, colliers d’amulettes, chapelets. Divers ustensiles tels que des couteaux, menues ferronneries, meules à moudre le grain, le plat à rouler le couscous (guessaâ), trouvent place de choix dans cette section ainsi qu’une belle collection d’instruments de musique populaire dont le Psalterion (Kanoun), appartient au regretté « Hadj El Arbi Ben Sari, le maître de la musique andalouse tlemcenienne. L’ethnographie du Sahara algérien est représentée par une scène composée d’une tente Touareg avec deux mannequins, l’homme illustrant le costume des populations du Hoggar et voilé d’un litham, la femme tient à portée de sa main les instruments domestiques familiers ainsi qu’un ensemble des éléments nécessaires au campement targui tels que les célèbres armes touareg : Épée de selle, poignard d’avant bras sur lequel est gravé sur la lame des caractères tifinagh, le bouclier en peau d’antilope ainsi que la lance du guerrier targui. La deuxième salle est consacrée à l’ethnographie africaine, qui est représentée par des collections d’armes et chaussures de la somalie, des sparterie et armes blanches du Soudan et de la côte d’Ivoire, des vêtements et des fétiches en bois sculpté du Sénégal, des objets d’art et d’usage domestique ainsi que des instruments de musique de l’extrême orient. En général, ces pays représentent des civilisations qui offrent de grands rapports avec les civilisations néolithique. L’Océanie est représentée par des séries d’outillage primitif : sagaies, casses tête dans le bois, haches de pierre polie emmanchées. La Nouvelle Calédonie nous a offert des objets domestiques et des témoignages artistiques autant que religieux , des fétiches sculptés et des bambous gravés ainsi que des vêtements tressés.   SECTION D’HISTOIRE NATURELLE : Les collections appartiennent à la zoologie, à la botanique, à la minéralogie, à la paléontologie et à l’anatomie comparée.




asalamo alaykoum si vous etes interesez pour encien argent de roman 3000 ans avant contact moi sur email j ai presques 4 kg d argent (cooper metal not gold) a bien tot omar bonne journee
omar abdellah - ing - khenchela, Algérie

29/04/2016 - 297701

Commentaires

c.est un tres beau musee que je respect beaucoup mais j.aime encore plus
moussaoui nouredine - coiffeur - oran, Algérie

27/07/2012 - 36876

Commentaires

j'ai un dictionnaire arabe(dialect) - français trés interessant écris par main de la periode coloniale; si ça vous interesse ecris moi un email.
larbi chaht - sécretaire - Mascara, Algérie

12/03/2012 - 28650

Commentaires

recherch sur les doluim antique svp
chena abdlha - etudion - tessemsilt, Algérie

12/02/2011 - 11275

Commentaires

Dear Sir/Madam, I have come across a reference to some works of art which were donated to the Museé d'Oran by a M. Nessler. A collection of works by Eugène E. Lemercier and a collection of canvases and drawings by Mrs O'Hagan-Osborne. I would be very grateful for any information on, and if possible images of, these works. I am researching this family of artists for the Royal Irish Academy, Dublin, Ireland. Many thanks for your help in this matter, Yours truly, Maria Arnold
Arnold, Maria - Art Historian - Dublin, Irlande

17/01/2011 - 10369

Commentaires

Dear sir/Madam, I would like to know if you still have the following works by Eugène Lemercier in your collection? - – Haheyna; Pégase; Destinées; Portrait de la Dame au piano; a study for Contemplation; as well as a quantity of painted studies and drawings and also some remarquable canvases and drawings by Mrs O’Hagan Osborne. With thanks for your help , yours truly, Maria Arnold
Arnold Maria - historienne de l'art - Dublin, Irlande

12/01/2011 - 10208

Commentaires

pour Mr le conservateur de zabana Bonjour Mr je possède un tableau de Joseph SIRAT caricature de Charcot seriez vous intéressé pour l'achat de cette toile pour votre musée dans l'attente d'une réponse cordialement Mr Knockaert
knockaert - st martial de gimel, France

20/10/2010 - 7601

Commentaires

Message au conservateur de Zabana. "Comment interpréter le silence des autorités culturelles et le Musée Zabana autour du tableau de Gustave Courbet "La biche Morte" ?
Lourdjane Rachid - journaliste - Paris
16/05/2010 - 5322

Commentaires

L'Office central de lutte contre les biens culturels (OCBC), une branche spéciale de la police française, a déjoué mardi une opération de vente d'une toile de Gustave Courbet volée chez des particuliers en région parisienne en 2004. L''uvre d'une exceptionnelle valeur artistique, datée de 1869, intitulée Paysage marin sous le ciel d'orage est estimée à 900 000 euros. Elle a été retrouvée à la salle des ventes de l'hôtel Drouot dans le IXe arrondissement de Paris. L'établissement réputé dans le monde entier est éclaboussé pour la première fois par un scandale d'une telle dimension. La descente de police a permis l'arrestation de douze personnes parmi le personnel de l'établissement dont un commissaire-priseur. Cette affaire fait écho de la disparition d'un autre Courbet, patrimoine national algérien intitulé la Biche morte, volé au Musée national Ahmed Zabana le 27 octobre 1985 (Horizons du 30 octobre 1985, El Watan du 2 juillet 2009). Le tableau est resté en immersion totale durant 16 ans. Le 19 décembre 2001, il est mis en vente à la salle de l'hôtel Georges V à Paris sous le titre « La mort du chevreuil ». Ce changement d'identité est un subterfuge classique dans les milieux du grand banditisme spécialisé dans les 'uvres d'art. Il permet quelquefois de déjouer les recherches sur la base de listing. La Biche morte est saisi par la police qui la remet aux soins de la direction des musées de France.El Watan a retrouvé la trace de cette toile en juillet dernier au musée d'Orsay. La Biche morte se trouve « en réserve », selon les informations recueillies auprès du personnel après consultation du fichier électronique. Depuis décembre 2001, cette 'uvre en détresse attend son retour au Musée national Zabana d'Oran qui en est le propriétaire légitime. Source El Watan
Zaidi - Professeur d'Art - Oran
06/12/2009 - 4573

Commentaires

Je souhaite un contact avec Hadj Meshoub, conservateur du Musée pour un complément d'info. suite à la "biche morte" de Gustave Courbet. Viiiite Merci Rachid rachid.lourdjane@laposte.net
Rachid Lourdjane - journaliste - noisy le sec 93130
04/12/2009 - 4566

Commentaires

Bonjour, Pouvez-vous me dire si vous connaissez SIRAT Joseph peintre caricaturiste créateur et directeur des beaux-arts d'Oran de 1882/1902 atelier rue d'Arzew et si le musée possède des oeuvres de lui ;(petit-cousin de mon gd-père )Merci beaucoup
Baumel Maryse - narbonne
06/10/2009 - 4322

Commentaires

madame nassima personnellement tous ce que je sais sur ma demande c comment y aller du palais des sports en arrivant au musée et ceci c a pieds c un truc qu'on peut situer a "medina el djedida"et rien d'autre, et trouvons le site je me suis dis voila une bonne chose j'aurai pas à me déplacer pour avoir les horaires d'ouverture car je voulais initier mes nièces à la culture, musée et au théâtre
ferahaoui hayet - enseignante - oran
03/08/2009 - 3910

Commentaires

www.museenationalzabana.dz
mania - Oran
01/08/2009 - 3901

Commentaires

il serait souhaitable de publier les programmes du musée.. visites guidées,conférences ,ateliers d'initiation aux amateurs et peut etre meme stages sur la muséologie...c'est de cette manière qu'on fait découvrir aux non inities la passion des visites instructives et non des passages de temps mort.! les visites guidées impliquent explication technique;historique,école,analyse de composition etc.. talbiakacha@yahoo.fr http://www.artabus.com/talbiakacha/
TALBI Akacha - artiste peintre,ex formateur - alger
16/07/2009 - 3805

Commentaires

Madame Ferhaoui, Cet article n'est qu'une contribution personnelle qui a été posté pour donner les informations essentielles sur le musée d'Oran. Vous semblez être très au courant des détails concernant le musée, il serait donc plus judicieux de les publier afin que les internautes puissent en profiter. Nous espérons vous relire bientôt. Cordialement.
Nassima - Tlemcen
15/07/2009 - 3796

Commentaires

avoir un site sur le musée c'est bien mais il faudrait ajouter a l'historique l'adresse, jours et horaires d'ouverture et de fermeture, un numéro de téléphone et peut être même une petite carte pour l'itinéraire et les bus qui peuvent mener jusqu'au musee ou les plus proche de l'arrêt la plus connue (medina el djadida).on peu peut être oublier le chemin mais les jours et les horaire son très important.
ferhaoui hayet - enseignante - oran
14/07/2009 - 3787

Commentaires

l'maie d'oran oui.l'image du lion oui.mais les photos concernant le sujet traité aucune?Depuis la typographie et la gravure l'image a nettement évolué mais son absence sur votre texte en est une grande lacune sans raison...Un peu d'inspiration sur l'universel pour un domaine qui mérite des efforts...Une photo de l'objet en vaut plus qu'un long commentaire.
TALBI Akacha - artiste peintre,ex formateur à lécole normale d'alger - ALGER
28/04/2008 - 1234

Commentaires

C'est un trés beau site mais il lui manque une chose primordiale les photos j'ai visité le musée a plusieurs reprises et il est franchement rempli de trésores. BON COURAGE vous faites du trés bon travail
BENYOUCEF HOUARIA - ETUDIANTE - ORAN
16/03/2008 - 1027

Commentaires

Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)