Algérie

Moyens mis en 'uvre en faveur de la recherche



En matière de moyens logistiques dédiés à la recherche dans les sciences océaniques, de grands efforts ont été déployés aussi bien par les scientifiques que par les bailleurs de fonds, surtout privés, laisse comprendre le rapport de l'Unesco. En effet, les investissements actuels dans des navires de recherche, la mise au point et le déploiement de technologies nouvelles (capteurs, sondes et véhicules sous-marins automatisés) sont en évolution.Toutefois, de par leur apport considérable dans le recueil des informations essentielles sur le système océanique mondial, les bouées ancrées et dérivantes captent le plus gros de ces investissements, faisant l'objet de programmes de coordination et de coopération internationaules, à l' image du programme Argo, exclusivement dédié à la surveillance des océans. Lancé en 2000 par la Commission océanique intergouvernementale de l'Unesco, avec la collaboration d'une cinquantaine d'agences de recherche, ce programme «repose sur la contribution internationale volontaire de pays qui fournissent une partie du système, tout en bénéficiant de l'ensemble des données produites (cartes de températures et salinité en surface et en profondeur)». Pour ce qui est de l'armement, sont au service de la recherche océanographique, sur l'ensemble du globe, quelque 325 navires, dont plus de 60% gérés par la Russie, les Etats-Unis et le Japon, plus de 40% affectés principalement à la recherche côtière et 20% participant à des recherches au niveau mondial. En outre, l'âge moyen des flottes nationales varie de 25 ans (Norvège, Bahamas, Japon et Espagne) à 45 ans (Canada, Australie et Mexique).


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