Moussa Touati, le militant pour un Etat de droit

Enfant de chahid se réclamant de la famille révolutionnaire, Moussa Touati qui préside le Front national algérien (FNA) se porte candidat à la présidence de la République pour la 2ème fois consécutive, avec l'ambition d'instaurer un Etat de droit.Enfant de chahid se réclamant de la famille révolutionnaire, Moussa Touati qui préside le Front national algérien (FNA) se porte candidat à la présidence de la République pour la 2ème fois consécutive, avec l'ambition d'instaurer un Etat de droit.A 61 ans, Touati ambitionne d'accéder à la magistrature suprême du pays pour, a-t-il dit, instaurer un Etat de droit où la démocratie et la justice sociale seront garanties. Cet enfant de Beni Slimane (wilaya de Médéa), ayant perdu son père tombé en martyr en 1958, se réfère dans ses idées et son programme à la Déclaration du 1er Novembre 1954 qu'il considère comme un "repère pour toutes entreprises et actions" en Algérie, pays des chouhada, pour reprendre son expression.Père de trois enfants, Moussa Touati qui est le quatrième des sept enfants que compte la famille, ne cesse jamais d'appeler dans ses discours et interventions au respect du serment des chouhada. Touati qui a connu une enfance très difficile après avoir perdu son père, est connu pour sa ténacité et sa persévérance dans l'effort, ce qui lui a permis de se consacrer à ses études qu'il considère comme "meilleur bagage".Après les études secondaires, il avait rejoint l'Armée nationale populaire (ANP) et avait fait partie des promotions envoyées par le président Houari Boumediene en Syrie et en Libye pour y recevoir une formation spécialisée. En 1978, il avait intégré le corps des Douanes algériennes, avant de se lancer dans la politique en 1988 quand il avait participé activement à la création de l'Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC). M. Touati avait assuré la présidence de cette association durant trois ans avant de créer la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC).En juin 1998, il lance le Front national algérien (FNA) lors d'un congrès consécutif et obtient l'agrément du parti en septembre 1999 pour en assurer la présidence jusdqu'à aujourd'hui. Le parti s'est vite fait connaître en participant aux élections législatives et locales de 2002 réalisant, en un temps record, des résultats importants, avec l'obtention de huit sièges au Parlement et plus de 600 élus au niveau des APC et APW. Lors de la précédente élection présidentielle (2009), le FNA s'est positionné à la 3e place, ce qui a permis à son président Moussa Touati d'en sortir grandi.A 61 ans, Touati ambitionne d'accéder à la magistrature suprême du pays pour, a-t-il dit, instaurer un Etat de droit où la démocratie et la justice sociale seront garanties. Cet enfant de Beni Slimane (wilaya de Médéa), ayant perdu son père tombé en martyr en 1958, se réfère dans ses idées et son programme à la Déclaration du 1er Novembre 1954 qu'il considère comme un "repère pour toutes entreprises et actions" en Algérie, pays des chouhada, pour reprendre son expression.Père de trois enfants, Moussa Touati qui est le quatrième des sept enfants que compte la famille, ne cesse jamais d'appeler dans ses discours et interventions au respect du serment des chouhada. Touati qui a connu une enfance très difficile après avoir perdu son père, est connu pour sa ténacité et sa persévérance dans l'effort, ce qui lui a permis de se consacrer à ses études qu'il considère comme "meilleur bagage".Après les études secondaires, il avait rejoint l'Armée nationale populaire (ANP) et avait fait partie des promotions envoyées par le président Houari Boumediene en Syrie et en Libye pour y recevoir une formation spécialisée. En 1978, il avait intégré le corps des Douanes algériennes, avant de se lancer dans la politique en 1988 quand il avait participé activement à la création de l'Organisation nationale des enfants de chouhada (ONEC). M. Touati avait assuré la présidence de cette association durant trois ans avant de créer la Coordination nationale des enfants de chouhada (CNEC).En juin 1998, il lance le Front national algérien (FNA) lors d'un congrès consécutif et obtient l'agrément du parti en septembre 1999 pour en assurer la présidence jusdqu'à aujourd'hui. Le parti s'est vite fait connaître en participant aux élections législatives et locales de 2002 réalisant, en un temps record, des résultats importants, avec l'obtention de huit sièges au Parlement et plus de 600 élus au niveau des APC et APW. Lors de la précédente élection présidentielle (2009), le FNA s'est positionné à la 3e place, ce qui a permis à son président Moussa Touati d'en sortir grandi.