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«Mon seul regret c'est de ne pas être allé à Munich»



«Mon seul regret c'est de ne pas être allé à Munich»
L'entraîneur du FC Barcelone Pep Guardiola, qui vivra vendredi son dernier match en Blaugrana avec la finale de la Coupe du Roi contre l'Athletic Bilbao, a estimé qu'il avait «un seul regret» : celui de ne pas être allé à Munich pour la finale de la Ligue des Champions cette saison.
L'entraîneur du FC Barcelone Pep Guardiola, qui vivra vendredi son dernier match en Blaugrana avec la finale de la Coupe du Roi contre l'Athletic Bilbao, a estimé qu'il avait «un seul regret» : celui de ne pas être allé à Munich pour la finale de la Ligue des Champions cette saison.
«Mon seul regret, c'est de ne pas être allé à Munich cette année. J'en garde encore une certaine amertume aujourd'hui», a expliqué jeudi Guardiola pour son avant-dernière conférence de presse chez les Blaugrana. «Mais je voulais aussi féliciter Chelsea (qui a éliminé le Barça en demi-finale). Je crois que c'est une génération de footballeurs qui méritait ce titre, à commencer par Cech», a-t-il ajouté. Après quatre années passées à la tête du Barça où il aura remporté 13 titres sur 18 possibles, Guardiola a choisi de passer le flambeau à son adjoint Tito Vilanova. Le coach de 41 ans a également tenu à démentir les rumeurs sur une dégradation de ses relations avec ce dernier. Il a souligné que c'est lui-même qui avait informé Vilanova que le club songeait à lui après qu'il eut fait part de son désir de partir. «En novembre, nous avons eu un dîner avec Zubizarreta au cours duquel il m'a demandé ce que je pensais de Tito si je m'en allais. Je lui ai répondu que c'était une très bonne idée.
Le jour de Chelsea, c'est moi qui suis allé voir Tito et je lui ai dit : je crois que ton jour est arrivé. Lui ne savait rien. C'est moi qui le lui ai appris. Avec Tito, nous nous connaisons depuis l'âge de 13 ans...», a insisté Guardiola. Il a également affirmé avoir «une merveilleuse relation avec Laporta (l'ancien président) comme avec (Sandro) Rosell (l'actuel)». «Je suis très reconnaissant aux deux de m'avoir laissé travailler dans de parfaites conditions» a ajouté Guardiola.
Enfin, Pep le Catalan a eu un mot sur la polémique soulevée par la présidente de la région de Madrid qui, mardi, a souhaité voir la finale entre Barça et Bilbao se dérouler à huis clos au cas où l'hymne espagnol serait sifflé. «Je ne suis pas très partisan de siffler l'hymne espagnol. Mais en même temps, je regrette que la présidente ne vienne finalement pas voir le match demain. J'aurais aimé qu'elle nous honore de sa présence», a conclu Guardiola.
«Mon seul regret, c'est de ne pas être allé à Munich cette année. J'en garde encore une certaine amertume aujourd'hui», a expliqué jeudi Guardiola pour son avant-dernière conférence de presse chez les Blaugrana. «Mais je voulais aussi féliciter Chelsea (qui a éliminé le Barça en demi-finale). Je crois que c'est une génération de footballeurs qui méritait ce titre, à commencer par Cech», a-t-il ajouté. Après quatre années passées à la tête du Barça où il aura remporté 13 titres sur 18 possibles, Guardiola a choisi de passer le flambeau à son adjoint Tito Vilanova. Le coach de 41 ans a également tenu à démentir les rumeurs sur une dégradation de ses relations avec ce dernier. Il a souligné que c'est lui-même qui avait informé Vilanova que le club songeait à lui après qu'il eut fait part de son désir de partir. «En novembre, nous avons eu un dîner avec Zubizarreta au cours duquel il m'a demandé ce que je pensais de Tito si je m'en allais. Je lui ai répondu que c'était une très bonne idée.
Le jour de Chelsea, c'est moi qui suis allé voir Tito et je lui ai dit : je crois que ton jour est arrivé. Lui ne savait rien. C'est moi qui le lui ai appris. Avec Tito, nous nous connaisons depuis l'âge de 13 ans...», a insisté Guardiola. Il a également affirmé avoir «une merveilleuse relation avec Laporta (l'ancien président) comme avec (Sandro) Rosell (l'actuel)». «Je suis très reconnaissant aux deux de m'avoir laissé travailler dans de parfaites conditions» a ajouté Guardiola.
Enfin, Pep le Catalan a eu un mot sur la polémique soulevée par la présidente de la région de Madrid qui, mardi, a souhaité voir la finale entre Barça et Bilbao se dérouler à huis clos au cas où l'hymne espagnol serait sifflé. «Je ne suis pas très partisan de siffler l'hymne espagnol. Mais en même temps, je regrette que la présidente ne vienne finalement pas voir le match demain. J'aurais aimé qu'elle nous honore de sa présence», a conclu Guardiola.




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