Mohammed Seddiki, président de la CNISEL à Réflexion

En rappel, la CWISEL de Tiaret est passée par des étapes très difficiles, les différends ont été l'ingrédient de faveur du menu quotidien et cela trouve bonne explication dans une telle expérience et durant plusieurs jours, la déstabilisation de cette commission était le mot d'ordre, et même un objectif de certains milieux qui se sont défaits des outils de gestion de cette commission et les résultats ont abouti à des conséquences très lourdes où la CWISEL a fait objet de dissidences graves qui se sont soldées par un retrait de confiance signé par 27 membres mécontents de la gestion de la dite commission présidée par M. le wali, Hadj Mohamed Bousmaha qui a joué un grand rôle et a fait régner un climat de confiance. Pour d'amples informations. « Réflexion » a joint par téléphone le président de la CNISEL, M. Mohammed Seddiki, Président de la Commission Nationale Indépendante de Contrôle des Elections Législatives qui nous a officiellement déclaré ces propos : « Pour l'heure, le retrait de confiance est interdit'.c'est une ligne rouge'.. La confiance doit régner entre les membres, et les mauvaises intentions n'ont pas de place, je ne tolère en aucun cas la médiocrité et je ne cautionne pas les faiblesses de vision et de visibilité 'c'est interdit ce « retrait de confiance », et même si un président reste et les autres démissionnent, cela est admissible. Il a fallu une réponse à plusieurs interrogations qui ont fait la une des événements. Par ailleurs, la CCISEL de Frenda a fait objet de tirs interposés qui se sont soldés par l'éjection du président et de son adjoint, cependant au niveau des services de la Daïra, le fax envoyé par la CWISEL semble avoir perdu sa destination et n'a pas vu le jour tout en notant que cette situation nourrit davantage le dysfonctionnement qui difficilement quittera cette commission décriée par plusieurs membres.