Nous tentons dans ce travail de réfléchir sur un mot arabe, « atlal », qui apparaît dans trois œuvres de Mohammed Dib, le Désert sans détour, l’Infante maure et l’Arbre à dires. Quel sens l’auteur des trois œuvres veut-il donner à ce mot ? Le mot « atlal » nous amènera à rendre compte de la présence d’une écriture bilingue particulière propre à son auteur. Celui-ci fait en sorte que les deux langues, « maternelle » et « française » s’associent pour donner lieu à une langue que nous pouvons appeler, la « langue d’écriture ».
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Posté Le : 28/05/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Oucherif Lamia
Source : SOCLES Volume 1, Numéro 2, Pages 71-81