Alors qu'il présentait le programme de la journée d'étude organisée hier par le Conseil constitutionnel à Alger, l'ancien ministre de la Communication et membre du même Conseil, Mohammed Abbou, a trouvé le mot juste pour détendre l'atmosphère. Au lieu de dire qu'il a égaré ses notes,
M.Abbou a fait ce raccourci: «Je vous dis tout de suite, monsieur le président, j'ai perdu mes papiers», a-t-il lancé à l'endroit du président du Conseil constitutionnel français Jean-Louis Debré. Au fait, M.Abbou voulait dire à M. Debré qu'il avait égaré ses notes. Il poursuit avant de l'encenser et de louer ses mérites «de grand homme de droit issu d'une grande famille de scientifiques». Ce dernier, rompu au sens de la répartie lui a répliqué: «Maintenant, j'ai la conviction qu'on ne peut pas mourir d'une indigestion de compliments.»
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Posté Le : 23/04/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : L'Expression
Source : www.lexpressiondz.com