Algérie

Mohamed VI professe encore sa bonne foi Algérie-Maroc. Promotion des relations bilatérales



Le roi marocain Mohamed VI a réitéré, avant-hier, la disponibilité de son pays à 'uvrer pour le renforcement de ses relations avec l'Algérie dans l'objectif de consolider la construction d'un Maghreb uni.
«Le Maroc poursuivra ses efforts en vue de renforcer ses relations bilatérales avec l'ensemble des partenaires maghrébins, y compris l'Algérie voisine, répondant ainsi aux aspirations pressantes et légitimes des peuples de la région, notamment en ce qui concerne la libre circulation des personnes, des biens, des capitaux et des services», a déclaré le roi marocain dans un discours à son peuple à l'occasion de la fête du trône . Par «libre circulation de personnes», Mohamed VI fait allusion, sans conteste, à la nécessité d'ouvrir les frontières terrestres entre les deux pays fermées depuis 1994. Les responsables marocains sollicitent, depuis plusieurs années, l'Algérie à procéder à l'ouverture des frontières, une demande qui a toujours essuyé un refus net de la part des autorités algériennes. Les réseaux de trafic de drogue en provenance du Maroc, l'insécurité et les risques auxquels serait exposé le pays en cas d'ouverture «non-étudiée» des frontières sont les principaux arguments de l'Algérie sur ce sujet.
Le roi du Maroc a usé, cette fois-ci, d'un langage plutôt doux en évoquant la question de l'unité maghrébine de manière générale en mettant en avant l'urgence de la situation et les défis qui attendent la région.
«Les transformations majeures que connaît la région nous offrent une opportunité historique de sortir l'Union maghrébine de l'immobilisme pour lui imprimer une dynamique porteuse d'un développement durable et intégré», a encore souligné le roi. Pour rappeler la bonne foi du royaume alaouite, Mohamed VI a étalé les efforts déployés par son pays à cet effet.
«Nous avions déjà appelé à l'émergence d'un nouvel ordre maghrébin pour transcender l'état de dispersion qui prévaut dans la région et remédier à la faiblesse des échanges entre ses pays, en vue d'édifier un espace maghrébin fort et ouvert», a-t-il indiqué. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait, rappelons-le, adressé, dimanche, un message de félicitations au souverain marocain à l'occasion du 13e anniversaire de son intronisation dans lequel il a réitéré sa ferme détermination à raffermir les liens de fraternité et de bon voisinage entre l'Algérie et le Maroc. Félicitant le roi pour les réalisations accomplies dans divers domaines, M.Bouteflika a fait part de la volonté de l'Algérie de renforcer et «raffermir les liens de fraternité et de bon voisinage entre les deux pays».
Sur le plan proprement protocolaire, les choses semblent bien marcher, mais cette dynamique occasionnelle en termes de discours n'est pas accompagnée d'actes concrets sur le terrain.
Toutefois, le langage utilisé par le souverain marocain, cette fois-ci, est plutôt «agréable», alors que les responsables marocains ne rataient aucune occasion pour s'attaquer verbalement à l'Algérie. Jeudi dernier, le Premier ministre marocain, Abelilah Benkirane, a tiré à boulets rouges sur l'Algérie.
«Les peuples marocain et algérien sont unis par des liens d'amitié et de fraternité mais il est désolant que la direction algérienne soit d'un autre avis sur la question de notre intégrité territoriale», a-t-il souligné en allusion à la question du Sahara occidental.
Le roi marocain Mohamed VI a réitéré, avant-hier, la disponibilité de son pays à 'uvrer pour le renforcement de ses relations avec l'Algérie dans l'objectif de consolider la construction d'un Maghreb uni.
«Le Maroc poursuivra ses efforts en vue de renforcer ses relations bilatérales avec l'ensemble des partenaires maghrébins, y compris l'Algérie voisine, répondant ainsi aux aspirations pressantes et légitimes des peuples de la région, notamment en ce qui concerne la libre circulation des personnes, des biens, des capitaux et des services», a déclaré le roi marocain dans un discours à son peuple à l'occasion de la fête du trône . Par «libre circulation de personnes», Mohamed VI fait allusion, sans conteste, à la nécessité d'ouvrir les frontières terrestres entre les deux pays fermées depuis 1994. Les responsables marocains sollicitent, depuis plusieurs années, l'Algérie à procéder à l'ouverture des frontières, une demande qui a toujours essuyé un refus net de la part des autorités algériennes. Les réseaux de trafic de drogue en provenance du Maroc, l'insécurité et les risques auxquels serait exposé le pays en cas d'ouverture «non-étudiée» des frontières sont les principaux arguments de l'Algérie sur ce sujet.
Le roi du Maroc a usé, cette fois-ci, d'un langage plutôt doux en évoquant la question de l'unité maghrébine de manière générale en mettant en avant l'urgence de la situation et les défis qui attendent la région.
«Les transformations majeures que connaît la région nous offrent une opportunité historique de sortir l'Union maghrébine de l'immobilisme pour lui imprimer une dynamique porteuse d'un développement durable et intégré», a encore souligné le roi. Pour rappeler la bonne foi du royaume alaouite, Mohamed VI a étalé les efforts déployés par son pays à cet effet.
«Nous avions déjà appelé à l'émergence d'un nouvel ordre maghrébin pour transcender l'état de dispersion qui prévaut dans la région et remédier à la faiblesse des échanges entre ses pays, en vue d'édifier un espace maghrébin fort et ouvert», a-t-il indiqué. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, avait, rappelons-le, adressé, dimanche, un message de félicitations au souverain marocain à l'occasion du 13e anniversaire de son intronisation dans lequel il a réitéré sa ferme détermination à raffermir les liens de fraternité et de bon voisinage entre l'Algérie et le Maroc. Félicitant le roi pour les réalisations accomplies dans divers domaines, M.Bouteflika a fait part de la volonté de l'Algérie de renforcer et «raffermir les liens de fraternité et de bon voisinage entre les deux pays».
Sur le plan proprement protocolaire, les choses semblent bien marcher, mais cette dynamique occasionnelle en termes de discours n'est pas accompagnée d'actes concrets sur le terrain.
Toutefois, le langage utilisé par le souverain marocain, cette fois-ci, est plutôt «agréable», alors que les responsables marocains ne rataient aucune occasion pour s'attaquer verbalement à l'Algérie. Jeudi dernier, le Premier ministre marocain, Abelilah Benkirane, a tiré à boulets rouges sur l'Algérie.
«Les peuples marocain et algérien sont unis par des liens d'amitié et de fraternité mais il est désolant que la direction algérienne soit d'un autre avis sur la question de notre intégrité territoriale», a-t-il souligné en allusion à la question du Sahara occidental.


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