Algérie

Mohamed Aissa hausse le ton



Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé, lundi Relizane, que l'Etat combattra les "idées sectaires visant à semer la discorde et à diviser la société" en l'éloignant de la sunna et de la djamaâ (Communauté).Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé, lundi Relizane, que l'Etat combattra les "idées sectaires visant à semer la discorde et à diviser la société" en l'éloignant de la sunna et de la djamaâ (Communauté).
"Une école supposée suivre la voie desancêtres de la nation, véhicule depuisquelques jours, une pensée d'exclusionréduisant l'appartenance à la sunna et à ladjamaâ à ses adeptes seulement", a déploré le ministre lors de l'ouverture des travaux du sixième colloque international sur lesoufisme organisée sous le slogan"L'éducation spirituelle et son rôle dans lapromotion de la paix"."L'Etat fera face à ces idées déviées et la loisera appliquée contre de telles pratiques etleurs auteurs, afin de ne pas les laissers'introduire dans les écoles, les mosquées et les universités et, par conséquent, empêcher l'effusion du sang desAlgériens", a averti Mohamed Aissa.
Leministre fait selon toute vraisemblanceallusion au salafiste Ferkous."Les mosquées, les zaouias et les écolescoraniques sont appelées à oeuvrer pourpromouvoir la paix, instaurée en Algérieaprès des années de violence et de terrorismegrâce aux sacrifices des forces desécurité et des citoyens et à la faveur de lapolitique de réconciliation nationale adoptéepar le président de la République prônantla paix, l'amour et le respect del'Autre et le rejet de la classification, de lastigmatisation et de l'exclusion introduitesde l'étranger dans la société algérienne", a souligné le ministre. "Le rôle de l'éducation spirituelle dans lapromotion de la paix et la lutte contre la violence se poursuit depuis l'avènement del'Islam, à travers le refus des premiers appels au takfir et à l'exclusion à l'époque des mouâtazila et ensuite du chiisme qualifiantd'hérétiques le reste de la oumma etportant atteinte aux compagnons du prophète(QSSSL) et à ses épouses", a souligné le ministre.Les Algériens, a affirmé, dans ce sensMohamed Aissa, "sont fiers d'appartenir à la sunna et à la djamaâ qu'ils suivent jalousement, sont attachés à la préservationde l'unité de la Oumma musulmaneloin du sectarisme et de l'exclusion et nepeuvent en aucun cas se convertir au chiisme comme le souhaitent certains".
Le ministre a mis en garde contre "le danger futur pour les musulmans qui est à craindre, après l'anéantissement de la sinistre organisation "Daech" qui reste un pur produit de laboratoires étrangers à desseins politiques", à savoir le danger de "sombrer dans le matérialisme et la culture deconsommation qui commencent à fairerechigner certaines nations les contraignant à faire des concessions majeuresdans l'intention d'éviter une détérioration de leur niveau de vie".
"Une école supposée suivre la voie desancêtres de la nation, véhicule depuisquelques jours, une pensée d'exclusionréduisant l'appartenance à la sunna et à ladjamaâ à ses adeptes seulement", a déploré le ministre lors de l'ouverture des travaux du sixième colloque international sur lesoufisme organisée sous le slogan"L'éducation spirituelle et son rôle dans lapromotion de la paix"."L'Etat fera face à ces idées déviées et la loisera appliquée contre de telles pratiques etleurs auteurs, afin de ne pas les laissers'introduire dans les écoles, les mosquées et les universités et, par conséquent, empêcher l'effusion du sang desAlgériens", a averti Mohamed Aissa.
Leministre fait selon toute vraisemblanceallusion au salafiste Ferkous."Les mosquées, les zaouias et les écolescoraniques sont appelées à oeuvrer pourpromouvoir la paix, instaurée en Algérieaprès des années de violence et de terrorismegrâce aux sacrifices des forces desécurité et des citoyens et à la faveur de lapolitique de réconciliation nationale adoptéepar le président de la République prônantla paix, l'amour et le respect del'Autre et le rejet de la classification, de lastigmatisation et de l'exclusion introduitesde l'étranger dans la société algérienne", a souligné le ministre. "Le rôle de l'éducation spirituelle dans lapromotion de la paix et la lutte contre la violence se poursuit depuis l'avènement del'Islam, à travers le refus des premiers appels au takfir et à l'exclusion à l'époque des mouâtazila et ensuite du chiisme qualifiantd'hérétiques le reste de la oumma etportant atteinte aux compagnons du prophète(QSSSL) et à ses épouses", a souligné le ministre.Les Algériens, a affirmé, dans ce sensMohamed Aissa, "sont fiers d'appartenir à la sunna et à la djamaâ qu'ils suivent jalousement, sont attachés à la préservationde l'unité de la Oumma musulmaneloin du sectarisme et de l'exclusion et nepeuvent en aucun cas se convertir au chiisme comme le souhaitent certains".
Le ministre a mis en garde contre "le danger futur pour les musulmans qui est à craindre, après l'anéantissement de la sinistre organisation "Daech" qui reste un pur produit de laboratoires étrangers à desseins politiques", à savoir le danger de "sombrer dans le matérialisme et la culture deconsommation qui commencent à fairerechigner certaines nations les contraignant à faire des concessions majeuresdans l'intention d'éviter une détérioration de leur niveau de vie".


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